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Griffon
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La renaissance des légendaires éditions du Griffon (dont l'ensemble du catalogue est à nouveau accessible) donne lieu à la publication d'un monographie de référence du maître brésilien installé à Paris, couvrant l'ensemble d'une carrière vouée depuis plus de soixante ans à l'exploration des volumes et aux recherches pour occuper l'espace sans contraintes, des premiers collages et reliefs abstraits aux particules colorées aériennes délicatement piquées à même les murs de ses travaux récents.
Né à São Paulo au Brésil en 1928, Arthur Luiz Piza vit à Paris depuis 1951. Passionné par l'art dès son plus jeune âge, il commence l'apprentissage de la peinture et la technique de la fresque dès 1947 chez le peintre brésilien Antonio Gomide. En 1951 se tient la première Biennale de São Paulo, à laquelle Piza est sélectionné. La même année, Piza effectue son premier voyage en Europe, puis s'installe à Paris.
Il entre à l'Hermitage, l'atelier du graveur de renommée internationale, Gothard Joachim Friedlaender, dit Johnny Friedlaender (1912-1992), pour commencer l'apprentissage de la gravure. Il côtoie des artistes de tous horizons et de toutes disciplines comme le peintre Nicolas de Staël ou Zao Wou-Ki, se lie d'amitié avec des expatriés tels que les Argentins Julio Le Parc, Luis Tomasello, Horacio Garcia-Rossi, Antonio Segui ou Roberto Matta, ou les Brésilens Sérgio Camargo, Lygia Clark, Sérvulo Esmeraldo, ou encore Flavio Shiro. Dans une dynamique favorable de relations entre l'Amérique latine et la France qui a caractérisé la vie artistique parisienne dès le début du XXe siècle, c'est aussi avec Le Parc, Matta, Tomasello et Garcia-Rossi sans oublier Krasno, Noé, Varnarsky, Maza, Novoa, Gamarra Netto, Ravelo, Guzman, que Piza va fonder en 1980 l'Espace latino-américain. En 1953, Piza reçoit le Prix d'acquisition à la Biennale de São Paulo, et ses gravures lui apporteront ensuite une reconnaissance internationale (Grand Prix National de gravure à la Biennale de São Paulo en 1959, Prix David Bright de gravure à la Biennale de Venise en 1966, Médaille d'or de la gravure à la Biennale de Florence en 1970, Prix de la gravure à la Biennale de Cracovie en 1970, Prix de la Gravure à la Biennale de Porto Rico en 1990...). Piza participe à des expositions collectives en France, au Brésil, en Allemagne ou encore en Suède, et sera sélectionné dans toutes les grandes foires et biennales d'art internationales. Puis viennent très vite les expositions personnelles, notamment à Paris dans la librairie-galerie La Hune et la galerie Jeanne Bucher à Paris.
Dès les années 1960, tout en continuant à réaliser des gravures à la gouge, Piza se tourne vers le collage avec des fragments de papier, jouant sur la matière et le relief avec du bois, du sable ou des pâtes vinyliques, puis se servant d'autres supports comme la toile ou le bois. Les collages abstraits aux tons sourds sont suivis par des séries plus légères, le mouvement s'ajoutant au relief grâce aux techniques d'incision dans le papier, puis se voulant de plus en plus aérien avec l'utilisation de trames en métal comme support pour des éléments découpés dans du papier ou du zinc, et délicatement peints de couleurs vives. Piza, qui a aussi créé des bijoux pour la galerie d'art Artcurial, et collaboré avec la Manufacture de Sèvres, réalise quelques sculptures de grand format, notamment la Tour Piza à São Paolo, et en 1986, un panneau tridimensionnel que Piza construit in situ à la demande de José Oubrerie, l'architecte du nouveau Centre culturel français de Damas en Syrie - cette intégration architecturale préfigurant magistralement le travail actuel de Piza.
L'échelle humaine de ses oeuvres, leur discrétion élégante, et la simplicité naturelle qui les relie les unes aux autres depuis plus de soixante ans caractérisent un travail que le Musée d'Art Moderne de São Paulo en 1958 et en 1993 ou celui de Rio de Janeiro en 1959 ou le Musée d'Art de São Paulo en 1981 ont exposé et auquel la Pinacothèque de São Paulo a rendu hommage en 2002 par une grande rétrospective, présentée ensuite au Musée d'Art du Rio Grande do Sul à Porto Alegre. Avec une représentation presque continue aux rassemblements artistiques qu'ont été ou sont le Salon de Mai, le Salon des Réalités Nouvelles, la FIAC. à Paris, São Paulo Arte ou Rio Arte au Brésil, ARCO à Madrid ou les Biennales et Triennales d'art ou de gravure, les oeuvres de Piza font aujourd'hui partie des collections des grands musées : ainsi du Solomon Guggenheim Museum à New York, du Musée d'art de Lodz, de l'Albertine Museum à Vienne, du Musée d'art moderne de Belgrade, de la Galleria nazionale d'arte moderna de Rome, du Museum of Modern Art de New York, du Victoria and Albert Museum à Londres, du Art Institute of Chicago, de la Pinacoteca do Estado de São Paulo, des Musées d'art moderne de São Paulo et de Rio de Janeiro, du Musée de Portland, de la Bibliothèque nationale et du Centre Pompidou à Paris, ainsi que du Musée d'art moderne de la ville de Paris, du Musée d'art moderne de Saint Etienne et de la Tate Modern à Londres.
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Monographie de référence, avec des introductions de Pierre Peissi et Carola Giedion-Welcker.
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"peindre comme toujours" ; de l'épopée picturale de Martial Raysse
Dimitri Salmon
- Griffon
- 13 Mai 2016
- 9782880061050
Les éditions du Griffon publient la monographie de référence de Martial Raysse, un ouvrage d'envergure, exhaustif, luxueux et abondamment illustré, dédié à la pratique picturale de l'artiste depuis 1957 jusqu'aux années 2010. Dimitri Salmon y conte avec érudition les nombreuses métamorphoses d'une peinture qui a su cristalliser les enjeux des époques qu'elle a traversées, et témoigner de leur sensibilité et de leurs mutations.
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La toute première monographie sur Isidore Isou, qui fait écho aux publications pionnières des Editions du Griffon, est essentiellement consacrée aux oeuvres plastiques du créateur du Lettrisme, tout en évoquant ses conceptions novatrices dans la poésie, le cinéma ou le roman. Fruit d'une recherche de quatre années de Frédéric Acquaviva (qui travaille sur le Lettrisme depuis plus de vingt ans et qui a travaillé avec Isou les dix dernières années de sa vie, ayant orchestré ses symphonies et monté cinq expositions sur son oeuvre), l'ouvrage contient de nombreuses illustrations inédites, le premier texte de synthèse-analyse de son oeuvre plastique, ainsi que la bibliographie la plus complète jamais publiée.
Cet ouvrage est - aussi surprenant que cela puisse paraître -, la toute première monographie sur l'oeuvre plastique d'Isidore Isou (1925-2007), le génial créateur roumain du Lettrisme, ce mouvement d'avant-garde apparu à Paris dès l'immédiate après-guerre.
A la suite du Dadaïsme et du Surréalisme, le Lettrisme impose ses idées, celles d'Isidore Isou, né en 1925, qui forme autour de lui un groupe d'éclat dont sera issu Guy Debord, le futur fondateur de l'Internationale Situationniste. Isou, à travers sa théorie générale de création : «La Créatique», abordera tous les domaines de la connaissance, bouleversant tour à tour la poésie, le roman, le cinéma, le théâtre, l'économie politique et naturellement l'art plastique qui fait l'objet de ce livre.
La peinture lettriste est une peinture à base unique de lettres, qui évoluera très rapidement, en 1950, à une peinture de signes nommée l'hypergraphie. Ces signes incluent aussi bien les rébus ou des signes musicaux que des écritures inventées, dénuées de sens, mais ouvrant une troisième perspective à l'art, après le figuratif et l'abstraction. Remis en perspective, ses oeuvres et apports stupéfient par leur avance historique.
Ce livre, conçu par Frédéric Acquaviva, qui a travaillé avec Isou les dix dernières années de sa vie et réalisé la dernière exposition monographique du vivant de l'artiste et la plus importante rétrospective sur le Lettrisme au Passage de Retz à Paris avec Bernard Blistène en 2012, entend lever le voile sur les réalisations originales et pionnières d'Isidore Isou et espère susciter le même intérêt que la monographie sur Marcel Duchamp éditée en 1959 qui sut révéler pour la première fois l'oeuvre complexe de Duchamp à un plus large public.
Une iconographie sans précédent (avec de nombreux documents inédits et des oeuvres inconnues), à laquelle s'ajoute une bibliographie de l'ensemble des expositions personnelles et collectives d'Isou ainsi qu'un choix parmi ses 200 écrits, font de ce livre le livre de référence sur Isidore Isou, le grand oublié de l'histoire de l'art.
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Les ultimes exemplaires originaux des portfolios conçus par Vasarely lui-même - des tirages de très haute qualité réalisés en 1975 - et un ensemble de documents inédits (1963-1975), rassemblés dans un coffret exclusif dont le design et la conception s'inscrivent dans la lignée du travail de l'artiste.
Jusqu'aujourd'hui, les séries de portfolios imaginés et supervisés par Vasarely en personne étaient conservées dans les archives des Éditions du Griffon et diffusées uniquement en cercles restreints. Regroupés dans ce Vasarelyptique, les ultimes exemplaires originaux sont à nouveau disponibles en édition exclusive et limitée. Chaque volume regroupe trois portfolios imaginés par l'artiste, accompagnés de reproductions de documents d'époque et de textes rares ou inédits.
Edition limitée à 1000 exemplaires.
Voir aussi les volumes 2 et 3 (les trois volumes sont rassemblés dans un coffret «collector» en édition limitée).
Inventeur de l'Op Art, né en Hongrie et mort en France, Victor Vasarely (1906-1997) est un artiste majeur du XXe siècle. Son nom est associé à une véritable révolution visuelle dont la portée se retrouve dans l'art, le design et le paysage de nos cités. Dans ses oeuvres, les formes, couleurs et contrastes assemblés créent une expérience visuelle chaque fois renouvelée. La volonté de Vasarely de mettre l'art à portée de chacun s'accompagne d'un voeu intime : c'est la beauté et sa poésie qui doivent nourrir l'âme du grand public. Son oeuvre s'inscrit ainsi dans une grande cohérence, de l'évolution de son art graphique jusqu'à sa détermination pour promouvoir un art social, accessible à tous.
Voir aussi Marcel Joray : Vasarely.
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Monographie de référence, avec une introduction de Max Bächer et des textes de l'artiste.
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Monographie de référence, avec un essai de Nadir Afonso qui constitue le prolongement de sa thèse sur le thème « L'architecture n'est pas un art » et d'une autre étude publiée en 1958, La Sensibilité plastique.
Peintre, architecte et théoricien de l'art portugais né en 1920 à Chaves, Nadir Afonso Rodrigues est décédé en 2013 à Cascais.
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Edition anglaise du livre Esthe´tique de l'architecture contemporaine, paru en 1968 aux Editions du Griffon (épuisé).
Ecrivain français, critique et historien d'art et d'architecture, historien de la littérature prolétarienne et de l'anarchisme, autodidacte libertaire, Michel Ragon (né en 1924) a entrepris de « donner une cohérence à une oeuvre foisonnante allant des écrivains du peuple à l'art d'avant-garde, des racines terriennes à l'utopie architecturale ».
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Monographie de référence, avec une introduction de Jean Clay et des photographies de Pierre Joly et Vera Cardot.
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Monographie de référence, avec une introduction de Marcel Brion.
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Monographie de référence, avec une introduction de Herbert Read et des textes autobiographiques de l'artiste.
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Monographie de référence, avec une introduction de Jean Cassou, deux essais de Guy Habasque et Jacques Ménétrier : le livre « cinétique » mythique, composé de pages transparentes, de pages dépliantes, etc., avec de nombreuses illustrations dont un ensemble de photographies de Robert Doisneau et la pièce musicale Spatiodynamisme de Pierre Henry (d'après les improvisations et enregistrements effectués en 1954 dans l'atelier de Nicolas Schöffer à partir de ses sculptures, une musique destinée à la sonorisation cybernétique de la Tour Spatiodynamique de Saint-Cloud) sur disque vinyle 45 tours.
Sculptures cybernétiques, tours spatiodynamiques, musique visuelle... Nicolas Schöffer, artiste français d'origine hongroise (1912-1992), fut un pionnier dont le travail est un étonnant trait d'union entre les artistes d'avant-gardes et les technologies multimédia actuelles qui font le quotidien des nouvelles générations.
Après des études aux Beaux-Arts de Budapest et un doctorat en Droit, il vient s'installer à Paris en 1936 où il traverse les mouvements du surréalisme et de l'art abstrait. Il opère en 1948 une profonde rupture qui va le conduire à créer ce qu'il nomme un art cybernétique. Dès les années 50, il introduit l'interactivité et la programmation dans ses créations sculpturales, architecturales et urbanistiques, et crée les premières oeuvres multimédia interactives avec de jeunes créateurs comme Pierre Henry ou Maurice Béjart. Il innovera également dans l'art vidéo (1961), la musique, la pédagogie, le spectacle interactif et les pratiques sociales, tout en développant une oeuvre écrite sur l'évolution de la société au travers des pratiques créatives.
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Monographie de référence, avec des textes, schémas, maquettes et partitions de l'artiste, ainsi que des exemples musicaux sur disque vinyle 45 tours inséré.
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Première monographie de l'artiste suisse Till Rabus, qui créé des sujets fantasmés à partir d'objets du quotidien et de déchets de notre société avant de les traduire sur des toiles hyperréalistes, dans des mises en scène reprenant des codes esthétiques de l'histoire de la peinture et du Baroque.
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Monographie de référence conçue par l'artiste, avec des introductions de Octavio Paz et John Golding.
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Monographie de référence : la chronique illustrée de l'itinéraire personnel et esthétique de l'artiste brésilienne Maria Bonomi à partir d'une étude minutieuse des rapports qui concilient ses discours et ses pratiques.
Depuis 1955, Maria Bonomi pratique l'art de la gravure sur bois. Cette technique en usage depuis le XVe siècle, à laquelle Dürer a donné ses lettres de noblesse, a retrouvé la faveur des artistes avec la fin du XIXe siècle. Cependant, dès l'origine, ceux-ci avaient deux possibilités d'attaquer le bois avec leur burin : soit dans le sens du fil du bois, soit en l'utilisant debout (bois de bout).
Confrontée aux restrictions de ces deux manières de faire traditionnelles, Maria Bonomi a très vite cherché à en dépasser les limites.
Tout au long de sa carrière, Maria Bonomi a voulu diversifier les matrices de ses gravures. Brésilienne dans l'âme et dans le coeur, elle est donc partie à la découverte de bois indigènes - exotiques pour nous - utilisant des essences particulières, s'appropriant leurs veines et leurs formes. En agissant ainsi, elle rend hommage à la biodiversité et à la richesse même de la forêt amazonienne. Par la taille et les typologies des essences qu'elle retient, elle apporte à son oeuvre une troisième dimension, offrant dès lors au regard un aspect sculptural à des pièces usuellement en deux dimensions, dans un écosystème personnalisé.
Dès le début, elle s'est consacrée à toutes les formes d'art, cherchant à défendre l'idée même d'un art universel, tout en utilisant prioritairement la gravure sur bois comme point de départ. Ainsi, peu à peu, elle s'est vouée presque exclusivement à cette forme d'expression, tout en cherchant à dépasser les fondements même de ce qu'est traditionnellement une gravure. Elle s'essaie donc à trouver d'autres techniques que les classiques définies dans les livres. Elle ne se limite pas à vouloir des impressions sur papier ; elle grave alors directement sur d'autres supports matriciels, imprimant ensuite ses signes dans du béton par exemple. Sa notion même de l'art de la gravure devient donc exponentielle puisqu'elle la conduit à la rencontre du monumental.
Le livre qui lui est consacré permet au lecteur de suivre toute sa trajectoire artistique et montre à quel point Maria Bonomi est aujourd'hui intimement liée au renouveau de l'art au Brésil.
« Il s'agit d'essayer de lire l'oeuvre d'une artiste complexe qui, ayant trouvé dans la gravure son moyen d'expression par excellence (Maria Bonomi a été disciple et amie de Livio Abramo, l'un des fondateurs de la gravure moderne au Brésil et en Amérique latine), a continué à étendre progressivement les techniques et les ressources avec lesquelles elle travaille, en orientant son art de l'intérieur de l'atelier ou de la salle d'exposition traditionnelle vers la rue et les espaces publics, où ses travaux peuvent être partagés par un public nombreux, composé essentiellement de gens ordinaires, non-initiés au monde de plus en plus spécialisé et restreint des arts visuels. Mayra Laudanna, éloignée des méthodologies détournées d'un apparat sociologique facile et disponible dans le milieu universitaire brésilien, choisit une narration châtiée, née de sa réflexion sur l'oeuvre et la documentation de l'artiste, qui aide à la préciser. » Extrait du prologue, Luiz Armando Bagolin.
Mayra Laudanna est historienne et critique d'art, chercheuse à l'université de São Paulo.
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Les ultimes exemplaires originaux des portfolios de Vasarely - des tirages de très haute qualité réalisés en 1971 - et un ensemble de documents inédits (1954-1968), rassemblés dans un coffret exclusif dont le design et la conception s'inscrivent dans la lignée du travail de l'artiste.
Jusqu'aujourd'hui, les séries de portfolios imaginés et supervisés par Vasarely en personne étaient conservées dans les archives des Éditions du Griffon et diffusées uniquement en cercles restreints. Regroupés dans ce Vasarelyptique, les ultimes exemplaires originaux sont à nouveau disponibles en édition exclusive et limitée. Chaque volume regroupe trois portfolios imaginés par l'artiste, accompagnés de reproductions de documents d'époque et de textes rares ou inédits.
Edition limitée à 1000 exemplaires.
Voir aussi les volumes 1 et 3 (les trois volumes sont rassemblés dans un coffret «collector» en édition limitée).
Inventeur de l'Op Art, né en Hongrie et mort en France, Victor Vasarely (1906-1997) est un artiste majeur du XXe siècle. Son nom est associé à une véritable révolution visuelle dont la portée se retrouve dans l'art, le design et le paysage de nos cités. Dans ses oeuvres, les formes, couleurs et contrastes assemblés créent une expérience visuelle chaque fois renouvelée. La volonté de Vasarely de mettre l'art à portée de chacun s'accompagne d'un voeu intime : c'est la beauté et sa poésie qui doivent nourrir l'âme du grand public. Son oeuvre s'inscrit ainsi dans une grande cohérence, de l'évolution de son art graphique jusqu'à sa détermination pour promouvoir un art social, accessible à tous.
Voir aussi Marcel Joray : Vasarely.
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Les ultimes exemplaires originaux des portfolios de Vasarely - des tirages de très haute qualité réalisés en 1977 - et un ensemble de documents inédits (1954-2013), rassemblés dans un coffret exclusif dont le design et la conception s'inscrivent dans la lignée du travail de l'artiste.
Jusqu'aujourd'hui, les séries de portfolios imaginés et supervisés par Vasarely en personne étaient conservées dans les archives des Éditions du Griffon et diffusées uniquement en cercles restreints. Regroupés dans ce Vasarelyptique, les ultimes exemplaires originaux sont à nouveau disponibles en édition exclusive et limitée. Chaque volume regroupe trois portfolios imaginés par l'artiste, accompagnés de reproductions de documents d'époque et de textes rares ou inédits.
Edition limitée à 1000 exemplaires.
Voir aussi les volumes 1 et 2 (les trois volumes sont rassemblés dans un coffret «collector» en édition limitée).
Inventeur de l'Op Art, né en Hongrie et mort en France, Victor Vasarely (1906-1997) est un artiste majeur du XXe siècle. Son nom est associé à une véritable révolution visuelle dont la portée se retrouve dans l'art, le design et le paysage de nos cités. Dans ses oeuvres, les formes, couleurs et contrastes assemblés créent une expérience visuelle chaque fois renouvelée. La volonté de Vasarely de mettre l'art à portée de chacun s'accompagne d'un voeu intime : c'est la beauté et sa poésie qui doivent nourrir l'âme du grand public. Son oeuvre s'inscrit ainsi dans une grande cohérence, de l'évolution de son art graphique jusqu'à sa détermination pour promouvoir un art social, accessible à tous.
Voir aussi Marcel Joray : Vasarely.
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Monographie de référence du sculpteur suisse.
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Offre spéciale pour l'achat des deux volumes du livre de Marcel Joray : Le béton dans l'art contemporain - Vol. 1 (1968) et Vol. 2 (1987).
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Un tour d'horizon de l'utilisation du béton dans les arts plastiques, de 1976 à 1987.
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Monographie de référence, avec des introductions de Marcel Joray, Giuseppe Arcidiacono et un texte de l'artiste.