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Arts et spectacles
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« Je n'ai pas beaucoup parlé de l'histoire d'Attica aux musiciens européens, ils connaissaient pour la plupart ce drame, mais j'y ai fait parfois allusion.
Il fallait leur montrer comment entrer dans cette musique, sentir le feeling nécessaire pour jouer le blues, mordre dans la musique, y mettre de la force ;
Petit à petit ils se sont libérés... »
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Gérard Berréby se met ici en scène et, par la même occasion, livre une leçon magistrale sur. rien. Ou plutôt sur le rien, le vide, enfi n ce à quoi les avant-gardes du XXe siècle ont aspiré.
Et cela donne un vaste détournement dans la plus pure tradition situationniste. L'événement s'est tenu le 4 avril 2012 au Théâtre de Gennevilliers, en lever de rideau d'une pièce de l'Institut des Recherches Menant à Rien. Gérard Berréby propose un aperçu des oeuvres qui ont e acé l'image.
Des expérimentations cinématographiques de Hans Richter au Manifeste contre rien , signé entre autres par Piero Manzoni, en passant par Hurlements en faveur de Sade de Guy-Ernest Debord, fi lm sans images. Dans ces oeuvres, le vide prend la place de la forme, sonore ou plastique, pour in fi ne faire un éloge du rien.
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Fin des années 1990, deux artistes masqués hantent les nuits parisiennes. INVADER et ZEVS agissent ensemble sous le nom de code @nonymous et laissent la trace de leurs errances urbaines dans le paysage. En 1999, ils diffusent sous le manteau un film qui dévoile leurs actions. Ce DVD reprend l'intégralité du film augmenté de bonus et d'un livret de 50 pages. Attention, âmes sensibles s'abstenir!
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Une anthologie des travaux vidéo réalisés par Thomas Hirschhorn pendant les années 1990 : treize vidéos peu connues et accessibles de l'artiste suisse installé en France.
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The Beat est un film documentaire conçu par Carsten Höller (réalisé par Charles de Meaux) à partir de l'exposition Carsten Höller - 7,8 Hz au Consortium, dont l'intégralité du système d'éclairage était modifié pour clignoter tous les soirs à une fréquence de 7,8 Hz.
Une compilation de musique dark / pop des années 1980 et 1990 accompagne les flashs.
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En 1972, après une période de doute artistique et une série d'expériences cinématographiques, Andy Warhol revient à la peinture. Subversif en plein, il délaisse les stars hollywoodiennes et s'empare du symbole du totalitarisme de la fin du 20e siècle, Mao Tse Tung, le transformant en icône pop. Automne 2008, Christopher Makos retourne 5 jours en Chine à sur les traces de son mythique voyage avec Andy Warhol. Un aller-retour permanent entre la Chine de 1982 et celle d'aujourd'hui avec sa nouvelle scène artistique.
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Summer of 1966 ; 33a biennale di Venezia
Jef Cornelis, François Morellet
- Jrp / Ringier
- 12 Juin 2013
- 9783037643235
Le troisième titre de la collection de DVD dédiée aux pratiques curatoriales et à l'histoire des expositions, consacré à la 33e Biennale de Venise et au 2e Salon des galeries-pilotes de Lausanne.
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The Secret Files of Gilbert & George (DVD)
Hans Ulrich Obrist
- Jrp / Ringier
- 1 Avril 2007
- 9783905770582
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ULF linde ; Marcel Duchamp ; certifié pour copie conforme
Franck Scurti
- Apres
- 13 Mai 2019
- 3760083750335
Un film de l'artiste Franck Scurti autour de la reconstitution « certifiée conforme » du Grand Verre de Marcel Duchamp, l'un des chefs d'oeuvre du XXe siècle, par Ulf Linde, qui a joué un rôle déterminant dans la réception internationale des travaux de Duchamp.
Ulf Linde était critique d'art, directeur de musée et musicien de jazz, né en 1929 à Stockholm et décédé en 2013. Il est l'auteur de la seconde version du Grand Verre de Marcel Duchamp. Exécutée en 1961 à la demande de Pontus Hulten pour l'exposition « Art in Motion », organisée au Moderna Museet à Stockholm. Ulf Linde a passé près de 40 ans à faire des recherches sur l'oeuvre de Duchamp. Alors qu'il n'avait jamais vu l'original, il s'est donc attaché à créer une copie du « grand verre ». Plus qu'une simple réplique, il s'agit avant tout de la compréhension et de l'interprétation de l'un des chefs d'oeuvre du XXe siècle. L'oeuvre a été par la suite reconnue et signée « pour copie conforme » par Marcel Duchamp.
Le film de l'artiste Franck Scurti est structuré autour d'un entretien entre Ulf Linde et l'historien d'art Hans Maria De Wolf.
Si l'on pouvait lui dégager une paternité, Franck Scurti (né à Lyon en 1965, vit et travaille à Paris) se réclamerait de Picabia, Raymond Hains, Marcel Broodthaers, Jacques Tati ou Francis Ponge, qui lui a «?appris à regarder les objets, à les analyser, à les perdre en eux-mêmes, puis à les réévaluer?». Son travail, inspiré de la réalité quotidienne et de l'actualité internationale, tire parti des formes produites par l'univers de la consommation et de la civilisation urbaine.
Déconcertant autant par sa diversité (du gribouillis au véhicule customisé, en passant par l'objet bricolé ou la vidéo, Scurti n'ignore pratiquement aucun médium en usage dans l'art) que par une apparente absence d'unité stylistique, son oeuvre est une entreprise de mise en situation de soi (Patrick Javault), entre le réel et ses représentations, par rapport à des enjeux esthétiques, historiques ou économiques mais aussi par rapport aux choses et aux événements. Autant d'éléments du monde qui déterminent le quotidien de l'individu, en même temps qu'ils offrent la possibilité d'imaginer sa vie comme oeuvre d'art (ne serait-ce, par exemple, qu'en croisant l'aléatoire hérité de Dada ou de Fluxus avec les règles de la productivité ou la grille moderniste) : une perspective libératrice d'improvisation qui n'ignore pas les différents modèles qui la référencient et qui lui donnent une assise culturelle.
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Depuis quelques temps, un véritable engouement pour l'Ortie a vue le jour frappant tout le monde à des lieux à la ronde.
Pourquoi en quelques années, l'Ortie est-elle devenue le symbole de luttes aussi variées que celle contre la marchandisation à outrance, l'uniformisation de nos modes de penser culturels et agriculturels ou la confiscation de notre patrimoine semencier et de notre biodiversité ?
Un film authentique plein de portraits pittoresques, optimiste mais aussi touchant et poétique, qui nous incite à préserver notrer indépendance
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Les statues meurent aussi
Alain Resnais, Chris Marker
- Presence Africaine
- 4 Juillet 2011
- 3507772708709
Les statues meurent aussi est un documentaire-court métrage français réalisé par Chris Marker et Alain Resnais sorti en 1953.
Il fut commandité par la revue Présence africaine. Partant de la question « Pourquoi l'art nègre se trouve-t-il au musée de l'Homme alors que l'art grec ou égyptien se trouve au Louvre ? », les deux réalisateurs dénoncent le manque de considération pour l'art africain dans un contexte de colonisation. Le film est censuré en France pendant huit ans en raison de son point de vue anti-colonialiste.
« Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art. Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la culture. » C'est ainsi que commence ce documentaire controversé qui pose la question de la différence entre l'art nègre et l'art royal mais surtout celle de la relation qu'entretient l'Occident avec cet art qu'elle vise à détruire sans même s'en rendre compte. Ce n'est pas encore la vague indépendante, mais quelques prémices se font sentir dans ce film. Un saut dans le passé, une photographie du point de vue occidental.
Le film a fait l'objet d'une interdiction en France durant huit ans.
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Un film de Gilles Coudert et Damien Faure sur les vitraux réalisés par Kimsooja pour la cathédrale de Metz : un dialogue entre création contemporaine et patrimoine, entre pensée orientale et pensée occidentale.
Régulièrement depuis son édification, un artiste est choisi pour créer de nouveaux vitraux pour la cathédrale de Metz, surnommée « la lanterne du Bon Dieu », pour sa très grande surface de verrières. Pour la célébration des 800 ans de la cathédrale, l'artiste coréenne Kimsooja propose un dialogue entre création contemporaine et patrimoine, entre pensée orientale et pensée occidentale. Le film nous raconte cette incroyable aventure historique, humaine, spirituelle et artistique.
En complément, le film « Yorkshire Sculpture Park » présente la sculpture « A Needle Woman: Galaxy was a Memory, Earth is a Souvenir » dans le parc et l'installation « To Breathe » dans la chapelle du Yorkshire Sculpture Park en Angleterre.
Avec les interventions de Kimsooja, Gabriel Normand (Chanoine de la Cathédrale de Metz), Eric Rebmeister (auteur du livre La cathédrale invisible), Laurent Innocenzi (conseiller pour les arts visuels, DRAC Grand Est), Emma Lavigne (directrice de la collection Pinault), Pauline Lurçon (conservatrice des monuments historiques), Pierre-Alain Parot (maître-verrier, Atelier Parot), Barbara Derix et Simon Ballagh (Verrerie de Saint-Just, Saint-Gobain). -
Un film d'animation réalisé par Robert Breer en 2000 : un abécédaire (A to Z) haut en couleur et plein d'humour jouant sur les sonorités et le rythme, dans la droite ligne des flip-books et productions cinématographiques expérimentales de l'artiste.
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Jean-francois zygel zygel/stravinsky/oiseau de feu
Jean-Francois Zygel
- Naive
- 24 Juin 2013
- 0822186021460
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Philippe Lespinasse, grand collaborateur du musée d'Art Brut de Lausanne, nous embarque pour une promenade bouleversante, dans une proximité rare avec ces artistes « bruts » out outsider, qui travaillent de façon solitaire. André Robillard nous guide à la rencontre de Paul Amar et ses coquillages, des cocons de Judith Scott, des cabanes de Richard Greaves et du manège de Petit Pierre. DVD + Livret
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An Evening of the Book - Trois films de Mai-Thu Perret (DVD)
Perret Mai-Thu
- Les presses du réel
- 1 Février 2008
- 9782917097021
Produit à l'origine pour la 9e Biennale d'Art Contemporain de Lyon, Evening a été filmé à The Kitchen, New York, en 2007. Ce film est conçu comme un "remake" de la pièce d'agit prop de 1924 du même titre. Celle-ci était l'expérimentation par les masses d'une agitation artistique pour le livre, qui dramatisait le conflit entre les vieux livres pré-révolutionnaires et ceux de la nouvelle révolution. Utilisant des acteurs de l'académie communiste d'éducation, dans un décor et avec des costumes réalisés par Varvara Stepanova, cette pantomime culminait avec la victoire des héros révolutionnaires et une parade de bibliothèques et d'éditions nouvelles.
An Evening of the Book, où les livres et les lettres deviennent eux-mêmes des acteurs, apparaît comme le point de départ idéal pour les premiers films réalisés par Mai-Thu Perret. Utilisant des accessoires quelquefois inspirés des Evenings originaux, comme les livres ou les costumes de sport, d'autre fois sans relation comme avec ces tubes fluorescents, les découpes dans la bannière ou les virgules, Mai-Thu Perret écrit une chorégraphie exécutée pour la caméra par une équipe composée d'amies artistes dont Amy Granat ou Fia Backström, et de danseuses professionnelles. Trois films rythmés par une chanson originale écrite par Mai-Thu Perret sur une musique originale de l'artiste Steven Parrino.
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Who's that guy ? ; tell me more about Guy de Cointet
Marie de Brugerolle
- Les presses du réel
- 27 Juin 2014
- 9782840667261
Un portrait mosaïque de Guy de Cointet (1934-1983) composé d'interviews d'artistes et de documents recueillis au cours d'une enquête menée sur dix ans par Marie de Brugerolle, qui apporte un éclairage nouveau sur la scène artistique de la Côte Ouest des États-Unis.
Une vingtaine d'artistes et personnalités contemporaines de Cointet, dont John Baldessari, Larry Bell, Morgan Fisher, Paul McCarthy, Christophe Bourseiller, etc., témoignent ; des documents inédits permettent de mieux comprendre la complexité de ce personnage et la singularité de son oeuvre. Apportant un éclairage nouveau sur la scène artistique de la Côte Ouest des États-Unis, le film redéfinit la place qu'a occupée l'artiste, surnommé le « Duchamp de Los Angeles ».
En bonus, une discussion avec le psychanalyste Gérard Wajcman complète ce document ainsi que des entretiens avec Dora García et Julien Bismuth, qui parlent de l'écho du travail de Guy de Cointet sur la scène actuelle et au-delà des frontières. La caricature, l'humour sophistiqué et la mise en scène du public sont des axes que ces artistes retrouvent chez lui. Christophe Bourseiller évoque l'entourage de l'artiste et la spécificité d'une scène contrastée, un « portrait d'un artiste en jeune homme » qui nous plonge dans l'Amérique du début des années 1970 et du monde dans lequel Guy de Cointet évoluait. Jeffrey Perkins revient sur une anecdote à propos de l'intérêt de l'artiste pour les cultures indiennes et sa recherche de codes colorés notamment à partir des vêtements.
Guy de Cointet (né en 1934 à Paris, décédé en 1983 à Los Angeles) est considéré comme l'une des figures clé du mouvement de l'art conceptuel et de l'art de la performance qui ont émergé à Los Angeles dans les années 1970. Son influence sur la scène californienne actuelle est attestée par des artistes tels que Paul McCarthy, Mike Kelley, Allen Ruppersberg ou John Baldessari.
La codification, le hiéroglyphe, la typographie représentent chez Cointet, dont l'oeuvre est fortement marquée par un intérêt pour les procédés de langage et notamment les techniques d'écriture de Raymond Roussel, un processus d'élaboration du mot mis en image, et de la couleur mise en forme. Ses dessins et livres attestent de son goût du mystère, des langages codés et de la cryptographie.
Proche du théâtre et de la poésie sonore et visuelle (ses narrations non linéaires, ses « objets scéniques », véritables « tableaux parlants », et ses croisements entre théâtre, cinéma et danse auront des échos jusque dans les recherches actuelles d'artistes comme Catherine Sullivan), Cointet est l'auteur d'une synthèse entre culture populaire, sources littéraires, surréalisme et art minimal.
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La trilogie de films Super-8 d'Ericka Beckman, réalisés à New York à la fin des années 1970, en pleine émergence de la scène No Wave et de la " Picture Generation ", aujourd'hui devenus des classiques.
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