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Prix
Littérature
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Le nouveau livre de Jim Harrison met en scène deux hommes aux prises avec l'amour, le désir, et toutes les contrariétés qui vont avec, tandis qu'en toile de fond la ville gangrène peu à peu la nature.
Clive, historien de l'art distingué mais artiste raté, revient à contrecoeur dans la ferme familiale du Michigan pour s'occuper de sa mère. Et pourtant, à soixante ans, ce retour dans sa maison d'enfance va lui offrir une vraie cure de jouvence. Sur les bords du lac Michigan, Thad vit quant à lui dans une ferme isolée.
Confronté à l'injustice et au difficile passage à l'âge adulte, il se prépare à traverser le lac pour rejoindre Chicago. C'est le début d'un long périple et d'un apprentissage décisif pour ce jeune homme jusqu'alors plus à l'aise dans l'eau et les rêves que sur la terre ferme.
Écrit avec la verve de ses meilleurs romans, Nageur de rivière nous rappelle brillamment le talent et la profonde humanité de Jim Harrison.
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Grand maître
Jim Harrison
- Flammarion
- Litterature Etrangere Flammarion
- 1 Septembre 2012
- 9782081262089
Sunderson, inspecteur à la retraite porté sur l'alcool et obsédé par les femmes, traque les membres d'une secte et leur gourou autoproclamé Grand maître. Flanqué de Mona, sa jeune voisine de 16 ans, il poursuit le sinistre personnage des bois du Michigan jusqu'à une petite ville mal famée d'Arizona, avant de gagner le Nebraska.
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Compact : en marge ; la route du retour ; de Marquette à Verra Cruz
Jim Harrison
- Christian Bourgois
- Litterature Etrangere
- 13 Mars 2014
- 9782267026306
En marge est une copieuse autobiographie dans laquelle « Big Jim » lâche la bride à ses « sept obsessions : l'alcool, le striptease, la chasse et la pêche (et les chiens), la religion, la France, la route et notre place dans le monde naturel » en sept chapitres aussi savoureux que des ris de veau aux morilles accompagnés d'un grand Côtes-du-Rhône (actuellement, son vin préféré). Mais En Marge montre aussi le « pauvre petit Jimmy » fou de douleur après la perte de son oeil gauche, sujet à des dépressions chroniques, seulement capable de survivre au fond de la forêt, dans un chalet solitaire situé près d'un lac, comme Thoreau dans ce livre fondateur de la littérature américaine qu'est Walden. Entre ces deux figures imaginaires et presque mythiques que sont « Big Jim » et « Poor little Jimmy », se dresse de toute sa stature - fil rouge de cette autobiographie - l'écrivain Jim Harrison dont l'écriture à la fois truculente et mélancolique, violente et subtile, nous propose depuis près de quarante ans un portrait inédit de cet autre mythe qu'est l'Amérique.
La route du retour est sans doute le roman le plus malicieux et le plus impressionnant de Jim Harrison. Composé de trois parties, qui sont autant de journaux intimes, c'est une grande fiction américaine où se mêlent les genres épique, lyrique et dramatique pour former une vaste fresque à la fois poétique et réaliste, truculente et nostalgique, brassant l'histoire de l'Amérique, depuis les guerres indiennes et les massacres qu'on sait, jusqu'à nos jours. Jamais sans doute Jim Harrison n'a aussi bien évoqué ce mélange de profane absolu et de visions sacrées qui constitue selon lui l'existence. Jamais il n'a créé avec autant de verve et de sensibilité, de puissance et de finesse, des personnages plus grands que nature.
Dans De Marquette à Vera Cruz, pour régler de vieux comptes avec sa famille fortunée, compromise depuis trois générations dans l'exploitation forestière éhontée du Michigan, David Burkett décide de s'exiler dans un chalet de la Péninsule Nord. Son père est une sorte d'obsédé sexuel, un prédateur qui s'attaque à de toutes jeunes filles, tandis que sa mère se réfugie dans l'alcool et les médicaments. Au cours de son passage à l'âge adulte - car il s'agit bel et bien d'un roman d'éducation contemporain -, David fera la connaissance d'un inoubliable triumvirat de jeunes femmes : Riva la Noire qui a décidé de consacrer sa vie aux enfants miséreux, Vernice la poétesse affranchie des conventions, et Vera, la jeune Mexicaine violée par le père de David alors que le jeune homme en était amoureux.
Roman d'une tragédie familiale, roman de la trahison et de la foi en la vie, de la joie et de la souffrance, roman où la sexualité la plus allègre côtoie en permanence la mort et la violence la plus crue, roman tourmenté, écrit « face aux ténèbres », De Marquette à Veracruz est sans doute le livre le plus ambitieux, le plus admirable de Jim Harrison, et l'un des romans les plus marquants de ce début de siècle.
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Une jeune fille en quête de vengeance, un homme mûr à la recherche de l'âme soeur, un autre en proie à des accès de violence les nuits de pleine lune...
Trois nouvelles, trois personnages en quête de rédemption, trois destins solitaires dans l'Amérique idéale de l'écrivain, aux habitants aussi rudes que les saisons du Montana.
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Dans ce recueil réunissant trois novellas, Jim Harrison se présente en toute virtuosité dans des registres qu'on aurait pu croire incompatibles. La novella qui donne son titre au livre, narre les dernières tribulations de Chien Brun, métis indien de la Péninsule Nord du Michigan. Les aventures de ce personnage sont racontées dans un délectable mélange de comédie et de tragédie soft. Epouses républicaines constitue un véritable tour de force. Jim Harrison met en scène trois femmes mariées, riches, républicaines, amies depuis toujours. Les voix de ces trois femmes sont crédibles, individualisées, réelles. On découvre un Jim ventriloquant trois épouses républicaines grand chic grand genre, leur inventant des voix effarées, passionnées, des larmes émouvantes ou ridicules, des répliques cinglantes ou naïves. Quant à la troisième novella du recueil, intitulée Traces, c'est une belle variation sur l'autobiographie de l'auteur, rédigée à la troisième personne, comme si Jim Harrison incarnait un personnage de roman, mais avec une écriture poétique transcendant le sujet et une liberté de ton qui nous font entrer de plain-pied dans la réalité de l'Amérique des années cinquante et soixante.
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Péchés capitaux
Jim Harrison, Julien Allouf
- J'ai Lu
- Litterature Generale
- 7 Septembre 2016
- 9782290130223
Désormais retraité et célibataire, l'inspecteur Sunderson n'aspire qu'à profiter de la vie en s'installant dans un bungalow de pêche dans le Michigan. Il s'accommode tant bien que mal de ses voisins, le clan Ames, pour qui viols, incestes et possession d'armes de guerre sont monnaie courante, et aide même l'un d'entre eux à écrire un polar. Mais un jour Lily Ames, sa femme de ménage, est tuée.
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L'éclipse de lune de Davenport
Jim Harrison
- La Table Ronde
- La Petite Vermillon
- 4 Décembre 1998
- 9782710308843
"pour écrire un poème, vous devez d'abord fabriquer un crayon qui écrira ce que vous voulez dire.
Pour le meilleur ou pour le pire, ceci est l'oeuvre d'une vie. " jim harrison.
Ce livre est le neuvième recueil de poésie de jim harrison, auteur tant apprécié de légendes d'automne, wolf et de la route du retour.
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« Le Michigan de Jim Harrison est le « Grand Nord Blanc » où l'on pratique la chasse et la pêche, mais aussi, comme chez Flannery O'Connor, « la sagesse dans le sang » : les prêcheurs itinérants y abondent presque autant que les bécasses, les truites ou les brochets. Fils d'un évangéliste pauvre surnommé « Présage de Malheur », Robert Corvus Strang quitte le Nord-Michigan pour travailler sur des chantiers de barrage aux Etats-Unis, en Amérique du Sud et en Afrique. Quand une chute de soixante-dix mètres lui fait perdre l'usage de ses jambes, il retourne en convalescence dans sa province natale où un journaliste blasé, lui aussi originaire du Michigan, viendra le trouver pour, lui aussi, se retrouver. Roman à deux voix, Faux Soleil conte une histoire de doubles dans le chassé-croisé des mots de la mémoire. Jamais, sans doute, le réalisme violent et lyrique de Jim Harrison n'a servi cause plus subtile. » - Brice Matthieussent.
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« L'oeuvre de Jim Harrison danse, galope, tangue vers le large, embrasse l'infini d'un continent sans limites. Julip rassemble trois récits. Avec Chien Brun, d'abord, qui continue à crapahuter vers d'introuvables chimères en nous servant une nouvelle rasade de confessions impudiques, avec Philip Caulkins, un prof de 50 ans qui a le tort d'aimer Ezra Pound et qui sera chassé de son université. La troisième nouvelle raconte la pitoyable odyssée d'une délurée de 20 ans, Julip, qui trimbale son "joli morceau de cul" de bars en motels, cette Zazie aux semelles de vent ne semble pas avoir d'autres pénates que son vieux break Subaru.
Né sous le signe du coyote, Jim Harrison ne s'apprivoise pas. Par ces temps de sieste prolongée, il nous remet debout et nous offre bien plus qu'une tranche d'exotisme : une cure de sauvagerie. ».
André Clavel, L'Express
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Tout à fait lyrique, émouvant et rabelaisien, le Sorcier de Jim Harrison fait partie des paumés de génie.
Tout à fait lyrique, émouvant et rabelaisien, le héros de ce livre fait partie des paumés de génie. Entrer dans l'univers de Sorcier, partager ses émotions, son combat conjugal, ses mésaventures d'apprenti privé, c'est retrouver le plaisir des lectures littéralement revigorantes.
Face à toutes les noirceurs qui assaillent la littérature, la lecture de Jim Harrison est une jouvence épatante. Un cadeau du ciel. Il ne faut pas s'en priver.
André Clavel, L'Express Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Serge Lentz -
Nord-Michigan
Jim Harrison, Sara Oudin, Thierry Hancisse
- 10/18
- Domaine Etranger
- 1 Septembre 1991
- 9782264016201
Instituteur dans une bourgade rurale du Nord-Michigan, Joseph coule des jours tranquilles dans la ferme de ses parents. Entre la chasse et la pêche, il partage ses nuits avec Rosalee, l'amie d'enfance, l'éternelle fiancée. Quand survient Catherine, une de ses élèves, âgée de dix-sept ans et très affranchie, déterminée à bouleverser le cours des choses...
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Dans ce recueil de poèmes, Jim Harrison s'inspire d'une forme poétique persane très brève, le ghâzal.
Mais ses notations personnelles elliptiques rappellent aussi par leur concision évocatrice le haïku japonais : voyages, amours éphémères, satoris bouddhistes, deuils, exploits gastronomiques, petits boulots, angoisse de vivre, tout est, pour l'auteur de Dalva, matière à écriture dans ces poèmes finalement très proches de l'univers de Kerouac et de Ginsberg.
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Le poète soviétique Essenine fut le chantre de la Révolution d'Octobre et l'époux de la danseuse américaine, Isadora Duncan.
Il se suicida en 1925, à l'âge de trente ans. Dans un essai intitulé " Le gué, la terreur ", Jim Harrison note : " J'ai mis des années à m'apercevoir que mes Lettres à Essenine étaient un constat de victoire sur la tentation du suicide. " D'Essenine, Jim Harrison, dans ce volume de poèmes publiés aux Etats-Unis en 1973, fait un alter ego désespéré et un forçat de la vie, à la curiosité insatiable, à la spontanéité imprévisible, aux désirs plus grands que nature.
Essenine, frère disparu trop tôt, est pour l'auteur de La Route du retour un modèle de vie, d'écriture, de passion et de révolte.
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Né en 1937 à grayling dans le michigan, jim harrison a fait ses études à l'université du michigan. il enseigne quelque temps à stoney brook, une université de new york, mais retourne très vite dans sa ferme du michigan. il vit aujourd'hui près de lake leelanau, un petit village où, malgré une notoriété internationale toujours grandissante, il est surtout connu comme chasseur et pêcheur. jim harrison a effectué plusieurs métiers - de fermier à détective privé - avant de publier, en 1965, son premier recueil de poèmes, plain song. à l'instigation de son ami thomas mcguane, il s'essaye pour la première fois au roman, en 1971, et publie wolf. pourtant, ses romans et nouvelles, un bon jour pour mourir, nord-michigan, resteront longtemps ignorés outre-atlantique, jusqu'à ce que le prestigieux magazine esquire publie dans ses colonnes, en 1979, les nouvelles de légendes d'automne. chantre des grands espaces et de l'amérique originelle, jim harrison est l'auteur d'une douzaine d'ouvrages, parmi lesquels dalva, qui l'a fait connaître du grand public.
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This is the story of Jim Harrison's captivating heroine, Dalva, and her peculiar and remarkable family. It encompasses the voices of Dalva's grandfather, John Northridge, the austere half-Sioux patriarch; Naomi, the widow of his favourite son and namesake; Paul, the first Northridge son, who lived in the shadow of his brother; and Nelse, the son taken from Dalva at birth who has now returned to find her. It is a family history drenched in suffering and joy, imbued with fierce independence and love, rooted in the Nebraska soil, and intertwined with the destiny of whites and Native Americans in the American West. Epic in scope, stretching from the close of the nineteenth century to the present day, The Road Home is a stunning and trenchant novel written with humour, humanity, and an inimitable evocation of the American spirit. 'One of the greatest modern storytellers in American literature at the peak of his formidable form in this epic, multi-generational saga, both prequel and sequel to his earlier Dalva. The century-spanning story of the Northridge family, set in the startling wilds of Nebraska, is full of wonderful writing and characters whose lives become part of the fabric of your own. Unforgettable.' The Sunday Times
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Aventures d'un gourmand vagabond
Jim Harrison
- Christian Bourgois
- Fictives
- 10 Août 2002
- 9782267016338
" Je tiens d'emblée à éviter tout malentendu mon obsession pour la bonne chère et le vin n'a rien de répréhensible.
Nous oublions trop aisément qu'à force de scruter la vie, nous perdons toute envie de la vivre. Je considère ma passion pour la gastronomie et les bons vins comme une quête obstinée de l'authenticité, et je me prends pour un voyageur, un explorateur, un aventurier découvrant ces activités banales auxquelles nous nous livrons tous les jours : manger et boire. " Jim Harrison n'a rien du banal gourmet.
Ce n'est pas un de ces esthètes éthérés qui se délectent en goûtant un vinaigre balsamique ou en saupoudrant sur leurs asperges quelque précieux sel de mer en provenance de lointains rivages. Dans ce recueil d'essais et de lettres intitulé Aventures d'un gourmand vagabond, il se présente comme le champion toutes catégories des agapes gargantuesques. Il mange avec vigueur, il écrit avec un appétit illimité.
Ses enthousiasmes sont tellement viscéraux que le lecteur reposera peut-être ce livre en croyant avoir été piétiné par les taureaux de Pampelune.
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Dans cette copieuse autobiographie, " Big Jim " lâche la bride à ses " sept obsessions : l'alcool, le strip-tease, la chasse et la pêche (et les chiens), la religion, la France, la route et notre place dans le monde naturel " en sept chapitres aussi savoureux que des ris de veau aux morilles accompagnés d'un grand Côtes-du-Rhône (actuellement, son vin préféré).
Mais En marge montre aussi le " pauvre petit Jimmy ", fou de douleur après la perte de son oeil gauche, sujet à des dépressions chroniques, seulement capable de survivre au fond de la forêt, dans un chalet solitaire situé près d'un lac, comme le fit Henry David Thoreau auteur de ce livre fondateur de la littérature américaine qu'est Walden. Entre ces deux figures imaginaires et presque mythiques que sont " Big Jim " et " Poor little Jimmy ", se dresse de toute sa stature - fil rouge de cette autobiographie - l'écrivain Jim Harrison, dont l'écriture à la fois truculente et mélancolique, violente et subtile, nous propose depuis près de quarante ans un portrait inédit de cet autre mythe qu'est l'Amérique.
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David Burkett, quatrième du nom, est l'héritier d'une famille lourde à porter, responsable du déboisage sauvage du Michigan. Entre une mère alcoolique et un père cynique, prédateur sexuel, David s'exile, en quête d'expiation. Dans le décor lyrique des grandes plaines, son parcours initiatique est marqué par la tragédie familiale et la beauté des femmes...