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Actes Sud
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Photoquai 2015 - 5e biennale des images du monde
Collectif
- Actes Sud
- 16 Septembre 2015
- 9782330038038
Créée en 2007 par le musée du quai Branly, la biennale Photoquai présente au public international des artistes dont l'oeuvre est inédite en France. Les quatre premières éditions ont fait découvrir plus de deux cents photographes venus chaque année d'une trentaine de pays différents.
Photoquai présente des expositions accessibles gratuitement sur les quais de la Seine, en face du musée, ainsi que dans les jardins attenants. La manifestation propose par ailleurs un dispositif mettant en réseau à la fois des institutions parisiennes partenaires - au premier rang desquelles les galeries d'art contemporain dédiées à la photographie contemporaine -, des espaces de débat avec des professionnels de l'image (écoles d'art, agences et collectifs photographiques, éditeurs internationaux.), des projections, des lectures, etc.
Saluée dès sa première édition pour sa pertinence et son originalité, Photoquai poursuit sa mission fondamentale : mettre en valeur et faire connaître des photographes dont l'oeuvre reste inédite ou peu connue en France ; susciter des échanges, des croisements de regards sur le monde.
Si les éditions précédentes de Photoquai présentaient des photographes contemporains non occidentaux, en 2015, Frank Kalero propose d'ouvrir le champ géographique et d'élargir la sélection au monde entier, considérant que «les enjeux sociaux, politiques et culturels qui ont inspiré la création de Photoquai sont des sujets globaux, tous interconnectés». Il choisit ainsi d'inscrire le dialogue des cultures dans des «croisements géographiques, mais aussi mentaux et sociaux».
Les quarante photographes et leurs oeuvres sont sélectionnés et présentés par Azu Nwagbogu (Afrique), Michket Krifa (Moyen-Orient), Kevin Wy Lee (Asie), Lisa Faktor (Fédération de Russie), Claudi Carreras (Amérique latine), Louise Clements (Monde et nouvelles interactions).
L'exposition comme le catalogue Photoquai 2015 sont placés sous la direction artistique de Frank Kalero. Licencié en communication des médias à l'université Pompeu Fabra (Barcelone), diplômé en photographie documentaire à l'International Center of Photography de New York, il vit entre São Paulo et Berlin. Il est l'actuel directeur du magazine Punctum, basé en Inde, spécialisé dans la photographie panasiatique ; il dirige également le nouveau rendez-vous incontournable pour les amoureux et les professionnels de la photographie documentaire de Barcelone : OjodePez Photo Meeting.
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La question des identités religieuses est l'une des plus sensibles parmi celles qui se posent au «vivre ensemble» en Méditerranée. De ce point de vue, la mer Intérieure semble être l'espace de la séparation et du conflit. Certaines conclusions rapides viennent conforter ce constat. On assiste ainsi à un durcissement des registres d'incompatibilité que proposent les religions monothéistes dans la conception de leurs rapports réciproques : à chacun son Dieu, ses écritures, ses saints. Les échanges se déclinent, au pire, sous la forme de guerre de religions et de choc des civilisations, au mieux, sous celle de dialogues érudits, laborieux et souvent stériles.
Ce catalogue pose un regard différent sur les comportements religieux des populations méditerranéennes et met en évidence l'un des phénomènes les plus intéressants - et aussi parmi les plus méconnus - de la région, à savoir le partage, l'échange entre communautés religieuses. Il focalise son attention sur des situations de contact dans lesquelles des lieux et des figures de la sainteté mettent en communication des traditions distinctes. Sans tomber dans la rhétorique creuse du «dialogue des cultures et des religions», il semble important de montrer que la distanciation et la détestation de l'autre ne sont pas des modalités nécessaires de l'interaction entre les religions en Méditerranée. On comprend ainsi que, lorsque le religieux est saisi au ras du vécu, dans les interstices des pratiques quotidiennes, il en ressort parfois une interpénétration des traditions et des cultes, sous l'oeil tantôt compréhensif, tantôt vindicatif des «gardiens du temple».
Ce livre essentiel, très richement illustré, propose donc au lecteur un périple méditerranéen inédit autour de figures et de lieux de culte partagés par les trois monothéismes, constatant qu'au long des siècles, là où des populations religieusement distinctes se côtoient dans le pourtour méditerranéen, des dévotions partagées voient le jour. Peu éclatantes et souvent silencieuses, ces circulations interreligieuses représentent pourtant une sorte de base continue, derrière le tumulte des croisades et des guerres de religion.
L'objectif principal est de faire connaître à un large public ces phénomènes méconnus qui concernent pourtant, hier comme aujourd'hui, des millions de personnes autour de la Méditerranée. En fournissant des clés de lecture sur le monde contemporain, le lecteur parvient à discerner le poids des enjeux politiques enchevêtrés au religieux. À travers des lieux, des figures et des pratiques, cet ouvrage est conçu comme une invitation à parcourir cette Méditerranée des marges et des frontières.
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Terre de riz depuis Henri IV, la Camargue produit aujourd'hui sept riz qui sont autant de nuances à savourer en cuisine. Naturellement parfumé, blanc, complet, rouge, noir, rond à risotto et rond à dessert, ce sont les sept riz que ce livre propose d'accommoder en quarante-neuf recettes simples et saines. Car le riz est une céréale nourrissante, digeste et bon marché qui s'accorde avec tous les ingrédients possibles. Un grand classique qu'on ne finit pas de réinventer et dont ce joli livre rappelle les vertus !
Divisé en sept chapitres de sept recettes, le livre rappelle pour chaque riz ses qualités culinaires et les cuissons les mieux appropriées. Sans oublier les grands classiques que sont la paella, les poivrons farcis au riz, le risotto primavera ou le riz à l'impératrice, il nous propose aussi des accords plus inattendus comme un magnifique riz noir aux asperges et au chèvre ou un riz rouge au fenouil confit. Des chefs apportent leur grain de sel : aussi les frères Pourcel nous proposent-ils leurs petites tomates farcies au riz, Roger Merlin ses chips de riz ou Armand Arnal son riz rouge sauté façon thaïe.
Les riziculteurs de Camargue produisent aujourd'hui le riz le plus contrôlé au monde sur le plan de la protection de la nature. Consommer les riz de Camargue, c'est s'offrir une belle palette culinaire mais aussi s'inscrire dans une logique de circuit court, plus respectueuse de l'environnement. Agriculture raisonnée, sûreté alimentaire, traçabilité : les riz de Camargue sont au plus haut niveau de qualité.
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Le sculpteur Giuseppe Penone, né en 1947 à Garessio, aux confins de la Ligurie et du Piémont, est un artiste majeur de la scène artistique internationale. Plus jeune représentant de l'Arte Povera, c'est avec une oeuvre dont le titre rend hommage à sa double ascendance géographique qu'il entre en scène en 1968. Cette oeuvre inaugurale, Alpi Marittime, est une série d'interventions dans la nature avant d'être une série de photographies.
D'emblée se pose avec elle la question suivante : Où commence l'oeuvre et où s'arrête l'archive ?
Le livre croise des travaux parfois distants de plus de quarante ans, pour montrer comment, tout en se ramifiant, l'oeuvre de Penone reste fidèle à ses premières intuitions.
Ses archives ayant été grandes ouvertes, l'attention de l'auteur s'est principalement portée sur des oeuvres rares, parfois inédites, certaines anciennes, d'autres récentes, dont l'approche, lorsqu'elle n'a pas été rendue possible par la photographie, est favorisée par des récits précis, nourris d'informations recueillies avec une grande complicité auprès du sculpteur.
Les oeuvres les plus célèbres d'un artiste en occultant inévitablement d'autres, cet ouvrage, qui les considère toutes au stade de la conception, tend à placer en pleine lumière des expérimentations et documents demeurés à l'arrière-plan, abolissant la distinction entre positif et négatif, intérieur et extérieur, individuel et universel, oeuvre en cours de réalisation et oeuvre réalisée. C'est en somme le portrait d'un artiste à l'oeuvre que l'on découvre ici, tout aussi déterminé même quand il diffère de plus de quarante ans la présentation de certains de ses travaux.
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Van gogh - colours of the north, colours of the south
Collectif
- Actes Sud
- Arts
- 9 Avril 2014
- 9782330031145
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Vincent Van Gogh (1853-1890) est l'un des plus grands coloristes de l'histoire de l'art.
Pourtant, les premières années de sa carrière, passées aux Pays-Bas, sont surtout influencées par les peintres des écoles de Barbizon et de La Haye, dont il reprend la palette sombre et grisée. À Nuenen, dans le Brabant, où il travaille de fin 1883 à fin 1885, Van Gogh découvre les théories de la couleur, et notamment celles d'Eugène Delacroix, dans des manuels écrits pour artistes. Ces idées, qui suscitent chez lui un enthousiasme débordant, l'incitent à expérimenter les contrastes chromatiques et à appliquer nombre de nouveaux procédés dans ses tableaux. Son oeuvre n'en conserve pas moins une tonalité sombre.
C'est seulement lorsqu'il s'installe à Paris, début 1886, qu'une évolution se dessine progressivement. Dans la capitale, il étudie les oeuvres de Delacroix - son artiste préféré -, mais aussi celles de certains maîtres anciens, des impressionnistes et de l'avantgarde de l'époque. Van Gogh se nourrit également de l'art japonais, en particulier des gravures sur bois riches en couleurs qu'il se met à collectionner. Sa palette se colore peu à peu sous l'influence des théories chromatiques qu'il avait déjà abordées aux Pays-Bas, mais dont il comprend désormais mieux le sens. En février 1888, Van Gogh part pour Arles, où il vit jusqu'au début du mois de mai 1889. Son talent de coloriste s'y épanouit pleinement. L'artiste est fasciné par la lumière du Sud et l'intensité des couleurs qu'il y observe. Il allie toutes les sources d'inspiration auxquelles il avait puisé à Paris pour se forger un style moderne, expressif et très personnel. Marchant sur les traces de Delacroix tout en gardant à l'esprit l'exemple des artistes japonais, il a recours à des contrastes chromatiques marqués et à un coup de pinceau très dynamique.
Van Gogh nourrit l'espoir de former une colonie d'artistes en Provence. En guise de première étape, Paul Gauguin le rejoint à Arles fin octobre 1888. Les deux artistes travaillent ensemble et s'influencent mutuellement. Mais, à la fin du mois de décembre, leurs caractères incompatibles les conduisent à la confrontation. Gauguin parti, le rêve de groupe artistique de Van Gogh vole en éclats. Sa maladie l'oblige à se faire interner à l'asile de Saint-Rémy, où il développe un style moins contrasté. Son oeuvre ne reflétera plus l'éblouissement ressenti à Arles face à la lumière et aux couleurs du Sud.
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Archives du concert - la vie musicale francaise a la lumiere de sources inedites (xviiie-xixe siecle
Collectif
- Actes Sud
- Arts
- 4 Mars 2015
- 9782330047948
Expression d'une nouvelle manière de concevoir la musique, dont les fondements se situent au xviie siècle et le point de maturité au tournant des xviiie et xixe siècles, le «concert» est à la fois le médium d'une pensée esthétique moderne, la conséquence d'une évolution socio-économique du monde musical et l'enjeu de politiques artistiques pouvant être observées aussi bien à l'échelle d'une ville que d'un continent. Devenant aujourd'hui l'objet d'études esthétiques, historiques, sociales, urbaines ou économiques, le concert reste cependant souvent abordé par les chercheurs uniquement avec l'aide de méthodes et de sources propres à leur discipline. L'objectif de ces Archives du concert est ainsi de présenter certaines sources encore inédites et de fournir des outils d'analyse pluridisciplinaires pour les aborder.
La première partie de cet ouvrage est consacrée au concert du xviiie siècle. La seconde partie est dédiée au «droit des pauvres», taxe sur les spectacles en faveur de l'Assistance publique imposée par une loi en date du 7 frimaire an V.
Docteur en histoire à l'École des hautes études en sciences sociales (Paris), Étienne Jardin est responsable scientifique des publications et des colloques au Palazzetto Bru Zane - Centre de musique romantique française, il est également cofondateur et actuellement directeur de publication de la revue électronique Transposition. Musique et sciences sociales.
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Encounters of Bamako 2009 ; african photography biennial
Collectif
- Actes Sud
- Arts - Photographie
- 14 Novembre 2009
- 9782742788613
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Sciences et Société, les normes en question
Michelle Bergadaa, Jean-Michel Besnier, Philippe Billet, Estelle Brosset, Bertrand Collomb, Claude Debru, Mireille Delma
- Actes Sud
- Questions Vives
- 5 Mars 2014
- 9782330030971
Parce que ses applications concernent la plupart des dimensions de l'action humaine, que son organisation et sa dynamique ne sont plus dissociables de celles de la cité, la science rencontre naturellement les normes qui régissent le comportement humain, celles de la morale ou du droit. Nombre de controverses et de débats concernant les sciences et les technologies en témoignent : s'y invitent tour à tour des normes sociales, éthiques, scientifiques et techniques, et l'on évoque même des "normes du vivant". Ces différentes normes renvoient-elles à des phénomènes comparables ? Sont-elles réellement de même nature ? La science bouscule les régimes de normes ; mais elle est elle-même questionnée quant à sa responsabilité, son éthique ou sa déontologie. Comment science, éthique et droit interagissent-ils et selon quelle dynamique ? Comment de nouvelles normes émergent-elles ? Les normes juridiques et éthiques sont-elles toujours en retard par rapport aux sciences ?
Si les sciences et les technologies entretiennent une perpétuelle et stimulante incertitude, cette même incertitude rend parfois difficile l'entente sur les usages. Sciences et société n'évoluent pas nécessairement au même rythme, tandis que le champ des normes, qui ne cesse de s'accroître et de se complexifier, est, pour le droit, source d'indétermination. Penser le progrès comme la capacité à partager des normativités et des normes, telle est l'ambition de cet ouvrage, issu de la quatrième université d'été de l'IHEST, qui a exploré sous cet angle les relations entre science, éthique et droit.
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Jacqueline delubac, le choix de la modernite - ridon, lam, picasso, bacon
Collectif
- Actes Sud
- 19 Novembre 2014
- 9782330036713
Une grande exposition est consacrée à Jacqueline Delubac (1907-1997) à l'automne 2014 au musée des Beaux-Arts de Lyon. En insistant sur l'audace de ses choix, l'exposition présentera à la fois la comédienne, la femme «la plus élégante de Paris» mais aussi et surtout l'amatrice d'art qui légua trente-huit oeuvres de première importance au musée des Beaux-Arts de sa ville natale en 1998.
Ce legs permet, depuis, au musée des Beaux-Arts de Lyon de présenter la première collection impressionniste hors de Paris, tandis que les oeuvres modernes et contemporaines offrent des grands jalons de l'art du XXe siècle.
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Émile Guimet en héritage (décembre 2014 à juillet 2015) est l'une des deux expositions inaugurales du musée des Confluences à Lyon. Si Guimet est un nom bien connu des Lyonnais, du fait du musée homonyme qui regorgeait de collections d'histoire naturelle et d'objets ethnographiques rapportés de pays lointains, qui connaît réellement le personnage ? Cette exposition et l'ouvrage qui l'accompagne se proposent de faire découvrir la figure intellectuelle d'Émile Guimet, à travers les riches collections qu'il a acquises et qui sont conservées à ce jour au musée des Confluences et au musée des Arts asiatiques à Paris.
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Depuis le début des années 1970, Mehdi Moutashar, artiste d'origine irakienne vivant à Arles depuis 1974, mène une réflexion à la fois sensible et construite, formelle et conceptuelle, où se rejoignent les fondements de la tradition arabo-musulmane - notamment l'arabesque - et les ressources du minimalisme géométrique.
L'élaboration d'une grammaire articulée autour du concept du carré, présente dès le début dans son travail en deux dimensions, s'est poursuivie ces dernières années à travers des constructions qui témoignent d'une approche philosophique globale de l'espace. C'est à cette logique qu'appartient sa référence constante à l'alphabet et à la calligraphie, ainsi que l'utilisation récurrente de la brique, module par excellence. Cet ouvrage est la première monographie proposée sur le travail de cet artiste.
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Valérie Belin utilise la photographie comme une tentative obsessionnelle d'appropriation du réel.
Elle cherche à éviter l'anecdote de la forme et à pénétrer au coeur des choses.
Ses photographies d'objets en verre réalisées à Venise ou les miroirs pris dans des magasins de décoration constituent l'aboutissement de cette recherche.
Parallèlement, elle s'intéresse à la problématique du corps : les robes de mariée, comme les épaves de voitures, parlent de l'absence du corps et d'une certaine volonté de mémoire. Dans la série des fleurs, les bouquets paraissent se faner avant même d'éclore ; aux halles de Rungis, les carcasses nous parlent d'animaux invisibles.
Valérie Belin utilise toujours le noir et blanc, ces couleurs qui font ressortir la lumière.
Le choix des grands formats nous plonge au coeur des sujets ; leurs cadrages serrés, coupés de tout contexte, les lieux encombrés et miroitants rendent obsédantes ces images d'une grande beauté.
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La recherche de la vérité, objet de la science désintéressée, face à l'opinion publique ? Les experts contre les profanes et, coincés au milieu, les "décideurs" ?Appliquée aux grandes questions reliant l'éthique, voire la simple survie des populations, et l'avancée technologique, la convergence entre les deux catégories d'individus ne va pas de soi ! Témoins les controverses sur le changement climatique, la vache folle, le principe de précaution contre la grippe aviaire, les nanotechnologies, les OGM, les antennes-relais, etc. Autant de pommes de discorde qui mettent en question tant la légitimité des experts que celle du citoyen et posent le problème crucial de l'information publique, puis de l'action politique.
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Scénographes en France (1975-2012) ; diversité et mutations
Collectif
- ACTES SUD-PAPIERS
- 5 Juillet 2013
- 9782330019495
Scénographes en France est le premier ouvrage publié qui met en lumière ces discrets acteurs de l'ombre, ceux qui conçoivent l'espace propice à la représentation. Cet ouvrage, introduit par une préface qui situe l'apparition de ce mot et son évolution jusqu'à nos jours, est ensuite organisé comme un annuaire divisé par décade. Il répertorie 52 scénographes majeurs, avec plus de 150 documents iconographiques puis 162 scénographes avec une courte biographie.
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REVUE LA PENSEE DE MIDI Tome 28 : les chants d'Orphée ; musique et poésie
Collectif
- Actes Sud
- Revue La Pensee De Midi
- 8 Mai 2009
- 9782742784134
De Sappho de Mytilène au fado, des joutes oratoires libanaises à la musique médiévale ou contemporaine, de la cantillation à la lyrique courtoise et aux extases baroques, du rap au slam ou à la poésie sonore... Voici une mosaïque de textes et de sons, un alliage improbable pour découvrir au fil des âges les relations tumultueuses ou harmonieuses, toujours puissantes et subtiles, entre musique et poésie en Méditerranée.
La parole est ici donnée aux artistes, musiciens, poètes ou écrivains, qui nous guident dans cette quête de la beauté et du mystère sonore.
Un numéro à écouter et à lire !
Il a été coordonné par Catherine Peillon, auteur, photographe, directrice artistique du label L'empreinte digitale.
Avec des textes de Nidaa Abou Mrad, Henri Agnel, Amina Alaoui, Béatrice Albert-Adwan, Jean-Marc Aymes, Philippe Brunet, Jan-Mari Carlotti, Claude Chantal, Lambert Colson, Renaud Ego, Suzie Félix, Angélique Ionatos, Félix Jousserand, Zad Moultaka, Ulas¸ Özdemir, Agnès Pellerin, Catherine Peillon, Nicolas Puig, Paco de la Rosa, Giovanni Semeraro.
Inclus : un CD original avec 22 morceaux.
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Depuis sa création en 1980, le Mois de la Photo a fortement contribué à faire de Paris une des grandes capitales de la photographie. La biennale mobilise d'importantes institutions culturelles et de nombreuses galeries pour offrir un panorama unique de la création photographique, au travers d'expositions d'ensembles thématiques et monographiques, de projections, de rencontres et de débats.
Pour cette 17e édition, le Mois de la Photo réunit trois délégués artistiques autour des grands thèmes suivants :
- Small is beautiful (petits formats) se déclinera dans une quinzaine d'institutions, sous la direction d'Agnès de Gouvion Saint-Cyr.
- Le réel enchanté investira une vingtaine de sites, sous la direction de Stéphane Wargnier.
- La photographie française et francophone de 1955 à nos jours fera l'objet d'une grande exposition à la Maison européenne de la photographie, sous la direction de Leonor Nuridsany.
Durant tout le mois de novembre, près de soixante expositions présenteront ainsi des grands noms de la photographie et de nombreux artistes émergents, comme :
- La photographie en France, 1950-2000, commissariat : Alain Sayag et Gilles Mora, Maison européenne de la photographie.
- Hannah Villiger, Centre culturel suisse.
- Ilse Bing, galerie Karsten Greve.
- Stéphane Duroy, galerie In Camera.
- Sarah Moon, Bernard Plossu, Masao Yamamoto (exposition collective), galerie Camera Obscura.
- Lynne Cohen et Patrick Tosani (deux expositions), galerie In Situ.
- Manuela Marquez, galerie Anne Barrault.
- Luighi Ghirri/Italian Emerging Photography, hôtel de Sauroy.
- Richard Dumas, galerie Vu.
- Modernisme ou modernité : les photographes du cercle du Gustave Le Gray, Petit Palais.
- Vertige du corps : Étienne Bertrand Weil, Bibliothèque nationale de France.
- Bertille Bak, musée d'Art moderne de la ville de Paris.
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Catalogue de l'exposition, "Vos rêves nous dérangent". Le Parc de la Villette, en collaboration avec les Rencontres d'Arles, invite trois photographes engagés dans l'observation documentaire des sociétés contemporaines : Dulce Pinzón (Mexique), Mikhael Subotzky (Afrique du Sud), Achinto Bhadra (Inde).
Des "supers-héros" mexicains travaillant à New York aux images d'êtres humains et divins, incarnés par de jeunes femmes rescapées de la traite des êtres humains en Inde, en passant par les habitants de la plus grande ville de la région du désert du Grand Karroo, Beaufort West (Afrique du Sud), cette exposition évoque, à travers les thèmes des migrations, des marginalités, de la citoyenneté, les vies des exclus, de leurs imaginaires, de leurs modes de survivance et de résistance.
Ces trois photographes représentent, dans le monde de l'imagerie documentaire, une génération d'artistes où l'intentionnel et le réflexif rejoignent avec bonheur l'inventivité. Que ce soit à travers la satire, des procédés émanant de l'analyse anthropologique ou des mises en oeuvre de créations participatives et de modes d'aide psychologiques, ils explorent avec justesse quelques chemins singuliers de ce vaste domaine qu'est la photographie dite "documentaire".
Plonger dans les univers du quotidien, les situations de survie ou de réparation - entre le prosaïque, l'âpre, le merveilleux et le douloureux -, et nous en porter témoignage, appartient à l'univers du documentaire, qu'il soit théâtral, cinématographique, plastique ou photographique. Par le vérifiable ou l'incertain, par le concret et l'imagination, et parfois loin du plausible ou du directement vécu, ces oeuvres parviennent à nous faire ressentir et comprendre des situations et des personnalités, de même que leurs transformations.
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Des peintres au camp des milles septembre 1939-ete 1941
Collectif
- Actes Sud
- 4 Juin 1999
- 9782742713233
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Ce catalogue consacré à Sol LeWitt, le précurseur de l'art conceptuel américain, est le premier numéro d'une série qui sera dédiée aux artistes de la Collection Lambert. Il nous propose de plonger au coeur de l'art contemporain en mettant l'accent sur des oeuvres peu connus de ces artistes tout mettant l'accent sur la richesse du fonds de cette institution.
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Une choix de la collection de la Maison Européenne de la Photographie Autour de l'Extrême" renvoie à une des constantes de la création contemporaine qui tend à repousser inexorablement les limites, qu'elles soient sociales, politiques, esthétiques ou scientifiques. À travers l'oeuvre de nombreux photographes, l'exposition explore tous les territoires du visible, de la conquête de la lune aux conflits les plus récents, en passant par la recherche médicale ou les expérimentations autour du corps et de ses représentations.