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Patricia Tourancheau
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Gregory : Le récit complet de l'affaire
Patricia Tourancheau
- Points
- Points Documents
- 13 Septembre 2024
- 9782757873229
Le récit le plus complet sur l'affaire Gregory dans une édition actualisée inédite.
Fait divers le plus retentissant de la seconde moitié du XXe siècle, le meurtre de Grégory Villemin, quatre ans, le 16 octobre 1984, restait un cold case, une énigme non résolue sur fond de chaos judiciaire, délires médiatiques et secrets de famille que l'on croyait embourbé à jamais dans les eaux glaciales de la Vologne.
Jusqu'à l'été 2017 où l'histoire rebondit avec de nouvelles arrestations et le suicide du juge puis la procédure s'enlise encore : faute de preuves matérielles, les principaux suspects sont remis en liberté.
Mais quarante ans après l'assassinat de ce petit garçon sacrifié sur l'autel de la haine vouée à son père par un ou des corbeaux maléfiques, les enquêteurs continuent à chercher les traces décisives pour les identifier et apporter enfin la vérité à ses parents. Pour élaborer ce récit complet actualisé dans une édition inédite, l'auteure a rencontré certains protagonistes encore vivants, analysé toutes les archives et dévoile les interrogatoires. -
Le grêlé : le tueur était un flic
Patricia Tourancheau
- Points
- Points Documents
- 23 Février 2024
- 9782757898550
De 1986 à 1997, un tueur et violeur en série multiplie les crimes à Paris sans que les enquêteurs ne puissent l'identifier : des fillettes séquestrées, violées, étranglées ; un couple d'adultes assassinés et torturés... Convoqué pour un test ADN en 2021, enfin identifié, « Le Grêlé » se donne la mort. François Vérove était un ex-gendarme, retraité de la police, père de famille et grand-père, indétectable.
Armée de témoignages de première main et de documents inédits, la journaliste Patricia Tourancheau reconstitue avec précision les multiples facettes d'une des plus grandes énigmes des dernières décennies. Un récit haletant digne d'un roman policier. -
Kim et les papys braqueurs : Main basse sur les bijoux de la Kardashian
Patricia Tourancheau
- Seuil
- Documents
- 8 Mars 2024
- 9782021447606
C'est l'incroyable histoire vraie du braquage de Kim Kardashian, la star de téléréalité américaine de passage à Paris pour la Fashion Week, détroussée par une équipe de voleurs seniors. La nuit du 2 au 3 octobre 2016, cinq filous venus dans son hôtel de luxe dérobent sa bague de fiançailles et une flopée de bijoux, un butin de 9 millions d'euros, avant de repartir à vélo en gilets fluo. Les pieds-nickelés viennent de réussir le casse du XXIe siècle. Mais, avec la vidéosurveillance et les traces ADN, pas facile de garder le magot.
Le télescopage entre ces « artistes » has beenâgés de 60 à 72 ans et la Queen mondiale des réseaux sociaux, c'est la rencontre de la bicyclette et du jet privé, du patiné et du bling-bling. C'est le choc des cultures entre des gangsters pépères tout droit sortis des films d'Audiard et l'influenceuse planétaire.
Cette histoire tragi-comique d'une star 2.0 dépouillée par des voleurs sans retraite a tout de suite titillé Patricia Tourancheau et sa « plume mi-flicardière, mi-voyouse », dixit Nicolas Demorand sur France-Inter. Le résultat : Les Bijoux de la Castafiore en version Millennial, racontés dans le langage fleuri des bandits, l'argot des voyous et le franglais des victimes. Un roman réel qu'on ne lâche pas. -
Le magot ; Fourniret et le gang des Postiches : mortelle rencontre
Patricia Tourancheau
- Points
- Points Documents
- 12 Mars 2020
- 9782757878453
En 2004, à la Une de Libération, la journaliste Patricia Tourancheau révélait l'origine du magot déterré d'un cimetière par Michel Fourniret, l'un des pires tueurs en série contemporains. Faisant le lien entre plusieurs affaires sur lesquelles elle enquêtait, elle a compris, avant tout le monde, que "l'Ogre des Ardennes" avait bel et bien récupéré le butin du gang des Postiches, fameux braqueurs des années 1980. Voici, à la manière d'un polar, le récit minutieux de cette incroyable histoire criminelle.
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Le 36 ; histoires de poulets, d'indics et de tueurs en série
Patricia Tourancheau
- Points
- Points
- 1 Février 2018
- 9782757870976
En 2017, les portes du mythique 36 quai des Orfèvres se sont définitivement fermées sur un siècle d'enquêtes, de meurtres et de scandales. À l'heure du déménagement, Patricia Tourancheau signe une chronique vibrante des services de la police judiciaire. Elle recueille des témoignages et écume les archives pour proposer une dernière visite de ces lieux mythiques, du musée de la Mondaine aux couloirs où se croisaient poulets, truands, maquerelles, et Serge Gainsbourg venu partager un pastis.
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La traque de Guy Georges, l'un des plus célèbres tueurs en série français, aura duré sept ans. Sept longues années d'acharnement et d'échecs. Arrêté en 1998 par la Crim', la brigade d'élite du Quai des Orfèvres, il a été condamné en 2001 à la perpétuité pour le meurtre de sept jeunes femmes.
Cette affaire emblématique a conduit à la création du fichier national des empreintes génétiques, mais elle a aussi révélé les failles du système judiciaire et socio-éducatif. Car Guy Georges, enfant de la Ddass au parcours chaotique, était connu des services de police.
Patricia Tourancheau nous dévoile les dessous de cette chasse restée dans les mémoires. Elle a assisté au procès, rencontré plusieurs familles de victimes, interrogé les experts, et même vu Guy Georges en prison. Elle a surtout recueilli ses lettres écrites en détention et les confidences des enquêteurs : ce récit haletant et humain rend hommage à leur métier hors du commun.
Journaliste spécialiste des affaires criminelles, Patricia Tourancheau a travaillé près de trente ans à Libération. Elle a publié Les Postiches (Fayard, 2004), Le 36 (Le Seuil, 2017) et Le Magot (Le Seuil, 2019). Elle est aussi co-réalisatrice de la série documentaire Grégory (Netflix, 2019).
Édition augmentée -
Fait divers le plus retentissant de la seconde moitié du xxe siècle, le meurtre de Grégory Villemin, 4 ans, le 16 octobre 1984 dans les Vosges, restait un cold case, une énigme non résolue que l'on croyait embourbée à jamais dans les eaux vaseuses de la Vologne.
Quand soudain, le 14 juin 2017, l'histoire rebondit avec les arrestations de membres de la famille Jacob, grand-oncle et grande-tante de Grégory Villemin. Cette affaire criminelle, où s'entrechoquent chaos judiciaire, délires médiatiques et secrets de famille, ressurgit de façon spectaculaire plus de trente-deux ans après les faits. Révoltée par le monstrueux gâchis humain qu'elle a généré, Patricia Tourancheau s'est replongée dans les archives, elle a rencontré certains des protagonistes encore vivants, dévoilé les derniers interrogatoires, pour raconter cette affaire comme un feuilleton.
La journaliste s'est reportée plus de 315 000 heures en arrière, aux origines d'une haine souterraine, fossilisée dans les fondations d'une famille. Quels longs détours ont donc emprunté les magistrats et les enquêteurs pour revenir ainsi au point de départ ? C'est la course contre le temps gâché qui traverse cet ouvrage, le plus complet jamais publié sur le meurtre de Grégory.
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Les postiches, un gang des années 80
Patricia Tourancheau
- Fayard
- Documents Fayard
- 12 Mai 2004
- 9782213620114
Nouvelle bande à Bonnot, financiers d?Action directe, enfants perdus de la gauche ou gangsters de la banlieue sud ?
De 1981 à 1986, des bandits inventifs et culottés dévalisent les banques en plein jour. Pas les fonds de caisses minables, mais l?or enfermé dans les coffres des particuliers.
Déguisés, ils arborent des postiches : perruques, barbiches, moustaches, lunettes, masques et loups. Ils s?habillent en gentlemen avec costumes griffés, redingotes bleu marine, manteaux en loden vert et chapeaux cloches anglais.
Politisés, ils annoncent à l?entrée « contrôle fiscal » au lieu de « c?est un hold-up », dissertent parfois sur le gouverment socialo-communiste ou enfilent un masque de Georges Marchais.
Gonflés, ils prennent possession des banques, retiennent en otages employés et clients et restent à l?oeuvre de quarante-cinq minutes à deux heures.
Expérimentés, ils ouvrent à la chaîne les coffres de ces messieurs-des-beaux-quartiers au marteau et au burin.
Organisés, ils enfournent dans des sacs à pommes de terre ou des surplus kaki de l?armée américaine lingots, pièces de monnaie, billets et bijoux.
Bigarrés, ils s?expriment à la fois en français, en verlan, en hébreu, et l?un d?eux zézaye.
Gantés, ils ne laissent jamais d?empreintes et emportent le film de vidéo-surveillance.
Le travail terminé, ils disparaissent à bord de voitures rapides et prennent toujours la police de vitesse.
La presse les a surnommés « le gang des burins », des « marteaux », des « lodens » ou « le gang des Postiches ».