Elsa a sept ans lorsque sa mère devient pour la première fois propriétaire. Dans le nouvel appartement, il y a une moquette vert menthe à poils ras, une chambre bleue avec des lits superposés, un frigidaire jaune, un palmier dans le crépuscule sur un mur de la salle de bains. La nuit, la mère ne dort pas. Elle fume. Blottie sous sa couette, l'enfant regarde les cloques qui boursoufflent le plafond.
L'Âge de détruire est l'histoire d'une violence qui passe de mère en fille. Un cycle infernal, dont il faudrait s'échapper ; et pour cela avancer jusqu'à atteindre, peut-être, l'âge de détruire.
Une question chagrine Monsieur Chien : où est passée sa queue ? Monsieur Tortue pense avoir la réponse... Monsieur Chien ne cesse de se retourner quand on lui dit que sa queue est derrière lui, mais ne la voit jamais. Un album plein d'humour ! Deux personnages mémorables et drôles, des dialogues surréalistes, étranges et toujours très polis, parfait pour être lu à haute voix. Une lecture active et animée basée sur les mouvements de Monsieur Chien.
Ellinor a soixante-dix ans. Elle vient de perdre Georg, son mari, et elle a rapidement décidé de vendre leur maison, dans la banlieue chic de Copenhague, afin de retourner vivre à Vesterbro, le quartier populaire de son enfance. Et Ellinor va se raconter. Elle s'adresse à Anna, sa meilleure amie, qui était la première femme de Georg. Et la maîtresse de Henning, son mari à elle. Anna et Henning ont été emportés par une avalanche dans les Dolomites, pendant des vacances que les deux couples passaient ensemble, au cours des années soixante.
Ce roman d'une vie vécue longuement à la place d'une autre mêle les surprises, la rancoeur, l'agressivité, la jalousie, et les regrets. Ce livre est une apostrophe, à la fois exercice de deuil, de mémoire et de réflexion, où le «tu» donne une immédiateté nouvelle à la palette du grand écrivain qu'est Jens Christian Grøndahl.
- Après le succès du Petit traité du jardin punk , paru fin 2018 et vendu à plus 20 000 exemplaires, un nouveau format enrichi en contenu et faisant la part belle aux illustrations (mais qui ne remplace pas le Petit traité ...).
- Une réponse aux demandes formulées par une partie des lecteurs du premier opus et par le public rencontré lors d'animations, conférences ou d'échanges avec les médias : davantage d'exemples concrets et pratiques, l'approfondissement de certaines notions, une iconographie enrichie et mise en valeur, l'ajout d'un chapitre sur le jardin nourricier, la liste des végétaux punks complétée et illustrée...
- Une description du concept de « Jardin punk » : un espace décomplexé, moins artificiel, qui s'émancipe des règles du jardinage traditionnel, ne cherche pas à dompter la nature à tout prix et la laisse, au contraire, reprendre un peu ses droits.
- L'approche écologiste, militante et opportuniste d'un paysagiste réagissant aux atteintes environnementales dont il est témoin et cherchant à repenser le rapport de l'homme au paysage.
- Une invitation à porter un regard nouveau sur ce qui nous entoure pour apprendre à discerner le potentiel de tout lieu, afin de l'investir autrement et de reconquérir la biodiversité dans chaque parcelle du quotidien.
- Une réponse à la préoccupation très actuelle d'embellir l'espace de vie collectif ou privé malgré les freins qui s'y opposent, qu'il s'agisse des conditions du site, de budgets très serrés ou d'un outil normatif étouffant, à destination des particuliers comme des élus.
- Un tas d'astuces pour « punkiser » les espaces quand on est rebelle, fauché, écolo et fainéant (régénérer, récupérer, bouturer, transformer, recycler...) - astuces qu'il s'agira bien évidemment de transgresser ou de décliner en se fiant à son instinct.
- Un ton toujours volontairement singulier et une approche à la fois radicale et circonspecte, provocatrice et non conventionnelle du jardin et du paysage.
La nuit dernière, j'ai rêvé encore de Dona Gracia.Sur elle j'avais lu beaucoup de livres qui me la montraient tout en me la cachant. Soudain elle m'apparaissait telle qu'en elle-même, vivante et traversant le temps, de la Renaissance au XXI? siècle. Je savais qu'elle était une construction, un double qui se multipliait à travers l'écriture de l'autrefois. Mais je savais aussi que j'avais besoin d'elle aujourd'hui. Qu'elle m'offrait ce modèle de vie que j'avais recherché dans d'autres femmes de l'Histoire et de mon histoire. Qu'elle me tendait ses fils pour débrouiller l'écheveau.Née nouvelle-chrétienne en 1510 et morte juive en 1569, dona Gracia voua son immense fortune à soudoyer les grands pour fuir l'Inquisition, tout en venant en aide aux juifs convertis persécutés dans l'Europe catholique de Charles Quint. De Lisbonne à Anvers, Venise et Ferrare, elle accomplit un invraisemblable périple pour finir à Constantinople, où le sultan Soliman le Magnifique l'accueillit, elle et les siens. De la Corne d'or, elle décréta l'embargo sur Ancône, port des États pontificaux, et construisit un havre pour les opprimés à Tibériade. Pour la première fois, les juifs et les marranes se dressaient face à la haine, sous la bannière d'une femme.
1882. St John's Wood. Un homme se présente aux portes de la maison de Constance Trenchard. À la stupéfaction de tous, il prétend être James Davenall, l'ancien fiancé de Constance, disparu une semaine avant leur mariage et que tout le monde pense mort depuis dix ans. Si la jeune femme le reconnaît et le croit, toute la famille de James Davenall, en particulier sa mère et son frère, Sir Hugo, héritier du prestigieux domaine de Cleave Court, prétend qu'il s'agit d'un imposteur. Sur fond de secrets de famille, c'est le début, d'un incroyable puzzle qui, après de multiples rebondissements, connaîtra une conclusion tout à fait inattendue.Cet incroyable page-turner reconstitue avec maestria l'atmosphère corsetée d'une aristocratie victorienne déclinante. Claire Julliard, L'Obs.L'auteur, avec une habileté diabolique, s'ingénie à manipuler son lecteur jusqu'à le rendre dépendant. Emmanuelle Giuliani, La Croix.Traduit de l'anglais par Élodie Leplat.
Ce livre nous emmène à l'époque de la préhistoire. Nous suivons une famille qui vit au gré des saisons et à la faveur des rencontres qu'ils font sur leur chemin.
On croise au fil des pages : mammouths, panthères, et grottes ornées de peintures rupestres. Le paysage se déroule en continu ; aucun texte n'accompagne les doubles-pages, mais une introduction en début d'ouvrage nous prépare à ce long voyage.
Ce livre est avant tout une aventure qui joue sur l'inversion de ce qu'il se passe actuellement : montrer un monde sauvage où les humains et les animaux vivent plus ou moins à égalité sur le territoire, montrer aussi que ce sont les migrations qui ont fait évoluer les humains et les ont enrichis...
La voilà, suspendue entre nous et l'Afrique, dramatique et suave, inquiétante et très douce, noire de lave et d'obsidienne, verte de raisin de Zibibbo, de câpres et d'olives, bleue de lac, indigo de mer. La voilà, l'île aux multiples noms : Yrnm, Cossyra, Qawsra, Bent el-Rhia, Pantelleria.
Pantelleria, la dernière île.
Pantelleria est beauté. Exubérante de vents, de mer et d'odeurs. De volcan. Sa nature extrême a, à travers les millénaires, exigé de trouver des solutions, de disputer, pierre après pierre, la terre à la lave, à opposer l'intelligence à la férocité du sirocco et du mistral. Île d'accostages sans fin, elle a été phénicienne, romaine, byzantine, arabe, normande, espagnole. Pantelleria n'est pas seulement une frontière géographique, c'est une frontière qui accueille, c'est un lieu qui nous rappelle à quel point est fragile et en même temps exceptionnelle la condition humaine.
Comment retrouver de l'air quand le quotidien et son rythme infernal nous étouffe ?
Edouard Cortès a choisi, pour se libérer du « monde d'en bas », d'aller vers celui « du haut » : au bord du gouffre, il va quitter femme et enfants pendant plusieurs mois pour vivre dans une cabane de sa propre construction, nichée dans un arbre en pleine forêt. Loin des réseaux sociaux et du tumulte de la société, il trouve une échappatoire dans le silence et la contemplation solitaire, et redécouvre des sensations essentielles au bien-être de chacun. Après avoir retranscrit son histoire en roman, il laisse à Dominique Mermoux le soin d'adapter avec justesse et sensibilité cet étonnant récit de vie.
Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, parmi eux, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité.
Liesel Meminger y est parvenue.
Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s'est arrêtée.
Est-ce son destin d'orpheline dans l'Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt ? Ou sa force extraordinaire face aux événements ? À moins que ce ne soit son secret. Celui qui l'a aidée à survivre et a même inspiré à la Mort ce joli surnom : la Voleuse de livres.
« Best-seller international, cette fable singulière envoûte par son audace et son originalité. » Questions de Femmes « Ironique et paradoxal, La Voleuse de livres appartient à ce genre hybride d'ouvrages destinés à la fois aux adolescents et aux adultes. » Le Monde des Livres Cet ouvrage a reçu le prix Millepages Jeunesse
Alors que son épouse attend leur troisième enfant, Nobuki Niré trouve un vieux cahier dans l'un des tiroirs de son ancien bureau d'écolier. Il s'agit du journal que sa mère, atteinte d'Alzheimer, a éprouvé le besoin de tenir lorsqu'elle a senti sa mémoire décliner. À travers ces quelques mots, parfois quotidiens, parfois intimes, Nobuki va découvrir une femme qui a eu une vie avant lui, à travers lui, et qui désormais ne peut plus en rendre compte.
Prêt pour un plaisir de lecture comme vous n'en avez pas connu depuis longtemps ? Mixez Agatha Christie, Downton Abbey et Un jour sans fin... Voici le roman le plus divertissant de l'année !
Ce soir à 23 heures, Evelyn Hardcastle va être assassinée. Qui, dans cette luxueuse demeure anglaise, a intérêt à la tuer ? Aiden Bishop a quelques heures pour trouver l'identité de l'assassin et empêcher le meurtre. Tant qu'il n'est pas parvenu à ses fins, il est condamné à revivre sans cesse la même journée. Celle de la mort d'Evelyn Hardcastle.
Chef d'oeuvre de construction, de références littéraires et d'habileté technique, Aiden croisera lapin blanc et personnage masqué pour tenter de percer le mystère de ce meurtre aux mille tiroirs !
À la suite d'un coup d'état dans le royaume, Colomba Dubijou perd toute sa fortune. Un malheur n'arrivant jamais seul, son cheval, le célèbre Cheval Cascadeur, sombre dans une profonde dépression après un numéro catastrophique. Tout le royaume propose bientôt son aide pour guérir le cheval adulé. Le boulanger, le dentiste, le kinésithérapeute, le charpentier, etc. se succèdent à son chevet. Hélas, chacun des remèdes ne fait qu'aggraver l'état du cheval. Sur les conseils de l'écrivain, Colomba finit par inscrire son cheval engourdi, bosselé, décoiffé et déformé à un concours de beauté acrobatique. un concours où il va croiser des êtres spéciaux et magnifiques, dont une certaine Biche étoile, qui pourrait bien changer son existence.
Quelque part sur le front de l'Est, alors que la fin de la guerre semble se profiler, un homme se retrouve enrôlé dans un groupe de soldats soviétiques et est envoyé en reconnaissance dans une ville d'eaux dévastée.Au milieu des décombres, comme si le temps s'était arrêté, se dresse une imposante demeure miraculeusement épargnée par les combats. L'homme y pénètre et s'y aménage un refuge inespéré, allant jusqu'à se prendre pour le maître des lieux lorsque l'on vient frapper à la porte.Entre mensonges, mystères et faux-semblants, les premières journées passées dans cette maison préservée, d'une invraisemblable quiétude, ne peuvent toutefois éloigner durablement le chaos de la guerre et la noirceur de l'âme humaine. L'écriture de Hermans, cette «poésie noire» selon la formule de Milan Kundera, frappe à la fois par sa beauté et par sa violence, et l'élève au rang de classique de la littérature néerlandaise du XX? siècle.
Sauvages de ma rue présente les plantes sauvages les plus répandues dans les espaces publics des villes et villages de France. Chaque espèce est décrite d'une façon claire, sans terme technique afin que tout citadin, sans aucune formation en botanique, puisse apprendre à identifier celles qui poussent dans son environnement immédiat. Les descriptions sont toutes assorties de photographies. En outre, des informations sont fournies sur l'écologie de ces espèces (les endroits où on les trouve préférentiellement) ainsi que les usages alimentaires ou médicinaux qu'elles peuvent avoir. Il est surprenant de constater à quel point ces plantes, considérées pour la plupart comme des " mauvaises herbes ", possèdent des vertus oubliées.
Les plantes, et particulièrement les plantes sauvages, à travers les services qu'elles rendent, sont indispensables à la vie des citadins : elles tempèrent les îlots de chaleur, elles aident à la dépollution de l'air et de l'eau, à la détoxification des sols, elles constituent le milieu de vie de nombreux animaux (oiseaux, papillons, abeilles). En conséquence, de la qualité de la flore des villes dépend la qualité de vie des citadins, leur bien-être et même leur santé. Pourtant, les plantes sauvages qui peuplent nos cités restent méconnues.
Cet ouvrage, richement illustré, constitue un catalogue de référence unique qui permettra aux citadins de reconnaître les plantes qu'ils croisent quotidiennement dans leur rue, autour des pieds d'arbres, sur les trottoirs, dans les pelouses.
Il donnera également aux lecteurs intéressés la possibilité de participer à l'inventaire de la flore des villes organisée par le Muséum national d'Histoire naturelle et l'association Tela botanica, dans le cadre du projet " Vigie-Nature ".
Embarquez à bord du Règlobus pour une virée complètement loufoque !Rainette, la chauffeuse, est une reine du volant, mais elle est très stricte : si l'on veut voyager dans son autobus, on doit respecter certaines règles. Il faut dire que les passagers ne sont pas de tout repos. Campagnol, hérissons, couleuvre, lynx, cerf, ours et bien d'autres, ont chacun leur façon très personnelle de se tenir suspendu, couché, allongé voire étalé... Sans parler des rongeurs qui prennent les banquettes pour leur goûter ; les belettes et écureuils qui utilisent les poignées comme des agrès pour faire de la gymnastique ou du lynx qui se croit sur un terrain de chasse.
«Le cahier, c'était la première chose que m'avait montrée le juge, quand tout à l'heure j'étais entré dans son bureau. Sous la couverture souple et transparente, on pouvait lire au feutre noir : MON MAÎTRE ET MON VAINQUEUR.Sur les pages suivantes, il y avait des poèmes. Voilà ce qu'on avait retrouvé sur Vasco : le revolver, un cahier noirci d'une vingtaine de poèmes et, plus tard, après expertise balistique, des résidus de poudre sur ses mains.Voilà ce qu'il en restait, j'ai pensé, de son histoire d'amour.»
Pour tout savoir de la grossesse, depuis la conception jusqu'aux premiers temps du bébé. Des doubles-pages animées par des découpes et des flaps expliquent le système reproducteur de l'homme et de la femme, la fécondation, la division cellulaire, la PMA, le patrimoine génétique, l'échographie, les jumeaux, la prématurité, et mois après mois le lecteur peut suivre l'évolution de l'embryon. Hélène Druvert donne corps à cette merveilleuse mécanique interne jusqu'à l'accouchement, avant de refermer le livre en beauté sur les premiers moments de la vie : l'allaitement, le développement moteur et l'évolution des sens du bébé.
Un documentaire aussi somptueux que passionnant sur la chose la plus exceptionnelle du monde : une naissance.
Au coeur d'une des tendances fortes du paysagisme actuel : des plantations inspirées de la nature à l'approche écoresponsable.
Oubliez les massifs léchés et impersonnels du passé : une révolution esthétique est en marche !
Cet ouvrage est la première étude complète et détaillée consacrée à nouvelle approche naturaliste et spontanée du jardinage reflétant une tendance plus durable en matière de création de jardins. Cet ouvrage présente 40 lieux remarquables - d'une prairie de vivaces dans les Vosges à un jardin privé résistant à la sécheresse en Australie -, avec des commentaires détaillés et de sublimes photographies.
Une jeune femme raconte son voyage à Tokyo avec sa mère. Au rythme du séjour et des balades sous la pluie automnale, des dîners en tête-à-tête et des musées, le lecteur explore par petites touches ce qui lie ces deux femmes immergées dans un pays à la fois étranger et familier pour elles - en raison des origines hongkongaise de la famille. Alors que la narratrice cherche, à travers ce voyage, à recréer une intimité perdue au début de l'âge adulte, chaque discussion semble pourtant être une occasion manquée de se retrouver...
Mais cette déambulation japonaise est également une plongée dans les pensées de la narratrice, où l'on croise sa soeur devenue mère, son fiancé, une professeure qui a changé son rapport à la littérature ou encore un oncle vendeur d'oiseaux. La mémoire se perd pourtant, et les souvenirs brumeux sont autant des repentirs que la narratrice recouvre délicatement de couleurs et de vernis. Sans doute le prix à payer pour ne pas tout perdre et préserver quelque chose du passé.
Pour qu'il neige réussit à soulever avec poésie des questions profondes sur l'identité, l'immigration, la filiation, l'art et la religion, tout en les imbriquant dans le quotidien de ces personnages aux émotions désaccordées. Un roman puissant et élégant sur une relation mère-fille, sur ce fil invisible qui se tord, se noue et parfois lâche.
Traduit de l'anglais (Australie) par Claro
Depuis les temps les plus anciens, partout dans le monde, on raconte des histoires aux enfants le soir à la veillée.
Au gré de leurs voyages, Ré et Philippe Soupault ont collecté et retranscrit les plus merveilleuses d'entre elles dans une langue simple et belle. Leur livre nous transporte de Laponie en Corée, du Turkestan au Venezuela, de Belgique en Transylvanie... Autant d'occasions de s'évader et de nourrir l'imagination des petits comme des grands.
«Je voulais garder l'image que j'avais d'elle : libre, fantasque, ne recevant d'ordre de personne et acceptant d'en payer le prix.»Après des années à faire des ménages à Paris, Mariette hérite d'une vieille bâtisse en Normandie. Charmée par les lieux, elle y emménage et s'épanouit dans son jardin en friche, à l'écart du monde. Mais l'arrivée de Louise interrompt sa retraite : cette adolescente, en vacances dans la région, cherche un refuge à l'ennui et à la lourdeur familiale. Peu à peu, toutes deux nouent une complicité émerveillée autour du jardin sauvage. Le lien inattendu créé cet été-là bouleversera à jamais l'existence des deux femmes.
Ce livre de recettes réunit plus de 24 plantes et fruits des bois et forêts, faciles à identifier, à trouver et à cuisiner ! Les recettes, simples et variées, sont classées par plante et par saison. En plus des recettes, le livre fourmille de conseils pratiques pour la cueillette, d'une fiche d'identité par plante et propose même des pages documentaires sur des espèces spécifiques (champignons, fleurs comestibles, etc.) et des activités DIY (construire une mangeoire à oiseaux, fabriquer sa couronne de fleurs, etc.).
Un roman d'apprentissage plein de sensibilité et d'intelligence. Page des libraires Ce premier roman vous aggripe l'âme et ne la lâche plus. Le Point« La Malnata - la mal née - était en bas sur la rive du Lambro avec deux garçons que je ne connaissais que de nom. Ils avaient tous les deux des pantalons courts et les genoux écorchés, et pour elle, cette fille qui leur arrivait tout juste à l'épaule, ils auraient affronté la mitraille comme les soldats qui s'en vont à la guerre, en disant ensuite au Seigneur : Je suis mort heureux. »Phénomène littéraire, révélation d'une voix unique, récit puissant où le passé fait écho au présent : La Malnata marque l'entrée en littérature de Beatrice Salvioni, vingt-six ans, dont le roman est publié simultanément dans plus de vingt-huit pays.Ce roman d'apprentissage au féminin raconte l'amitié intense et émancipatrice de deux adolescentes dans l'Italie fasciste. Deux adolescentes que rien ne destinait à la rencontre - l'une est issue de la bourgeoisie, l'autre des milieux populaires - qui vont trouver, à deux, le courage de se révolter contre la morale sociale et la violence des hommes.