Prêt pour un plaisir de lecture comme vous n'en avez pas connu depuis longtemps ? Mixez Agatha Christie, Downton Abbey et Un jour sans fin... Voici le roman le plus divertissant de l'année !
Ce soir à 23 heures, Evelyn Hardcastle va être assassinée. Qui, dans cette luxueuse demeure anglaise, a intérêt à la tuer ? Aiden Bishop a quelques heures pour trouver l'identité de l'assassin et empêcher le meurtre. Tant qu'il n'est pas parvenu à ses fins, il est condamné à revivre sans cesse la même journée. Celle de la mort d'Evelyn Hardcastle.
Chef d'oeuvre de construction, de références littéraires et d'habileté technique, Aiden croisera lapin blanc et personnage masqué pour tenter de percer le mystère de ce meurtre aux mille tiroirs !
Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, parmi eux, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité.
Liesel Meminger y est parvenue.
Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s'est arrêtée.
Est-ce son destin d'orpheline dans l'Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt ? Ou sa force extraordinaire face aux événements ? À moins que ce ne soit son secret. Celui qui l'a aidée à survivre et a même inspiré à la Mort ce joli surnom : la Voleuse de livres.
« Best-seller international, cette fable singulière envoûte par son audace et son originalité. » Questions de Femmes « Ironique et paradoxal, La Voleuse de livres appartient à ce genre hybride d'ouvrages destinés à la fois aux adolescents et aux adultes. » Le Monde des Livres Cet ouvrage a reçu le prix Millepages Jeunesse
1882. St John's Wood. Un homme se présente aux portes de la maison de Constance Trenchard. À la stupéfaction de tous, il prétend être James Davenall, l'ancien fiancé de Constance, disparu une semaine avant leur mariage et que tout le monde pense mort depuis dix ans. Si la jeune femme le reconnaît et le croit, toute la famille de James Davenall, en particulier sa mère et son frère, Sir Hugo, héritier du prestigieux domaine de Cleave Court, prétend qu'il s'agit d'un imposteur. Sur fond de secrets de famille, c'est le début, d'un incroyable puzzle qui, après de multiples rebondissements, connaîtra une conclusion tout à fait inattendue.Cet incroyable page-turner reconstitue avec maestria l'atmosphère corsetée d'une aristocratie victorienne déclinante. Claire Julliard, L'Obs.L'auteur, avec une habileté diabolique, s'ingénie à manipuler son lecteur jusqu'à le rendre dépendant. Emmanuelle Giuliani, La Croix.Traduit de l'anglais par Élodie Leplat.
Sauvages de ma rue présente les plantes sauvages les plus répandues dans les espaces publics des villes et villages de France. Chaque espèce est décrite d'une façon claire, sans terme technique afin que tout citadin, sans aucune formation en botanique, puisse apprendre à identifier celles qui poussent dans son environnement immédiat. Les descriptions sont toutes assorties de photographies. En outre, des informations sont fournies sur l'écologie de ces espèces (les endroits où on les trouve préférentiellement) ainsi que les usages alimentaires ou médicinaux qu'elles peuvent avoir. Il est surprenant de constater à quel point ces plantes, considérées pour la plupart comme des " mauvaises herbes ", possèdent des vertus oubliées.
Les plantes, et particulièrement les plantes sauvages, à travers les services qu'elles rendent, sont indispensables à la vie des citadins : elles tempèrent les îlots de chaleur, elles aident à la dépollution de l'air et de l'eau, à la détoxification des sols, elles constituent le milieu de vie de nombreux animaux (oiseaux, papillons, abeilles). En conséquence, de la qualité de la flore des villes dépend la qualité de vie des citadins, leur bien-être et même leur santé. Pourtant, les plantes sauvages qui peuplent nos cités restent méconnues.
Cet ouvrage, richement illustré, constitue un catalogue de référence unique qui permettra aux citadins de reconnaître les plantes qu'ils croisent quotidiennement dans leur rue, autour des pieds d'arbres, sur les trottoirs, dans les pelouses.
Il donnera également aux lecteurs intéressés la possibilité de participer à l'inventaire de la flore des villes organisée par le Muséum national d'Histoire naturelle et l'association Tela botanica, dans le cadre du projet " Vigie-Nature ".
La première publication de ce livre a provoqué une mini-révolution dans le monde du paysage, en créant un véritable regain d'intérêt pour les plantations de vivaces dans les jardins, connu sous le nom de "New Perennial Movement".
Animée par le célèbre paysagiste Piet Oudolf et le jardinier-botaniste Henk Gerritsen, cette "nouvelle vague" a littéralement transformé la conception des plantations par l'utilisation naturaliste des plantes vivaces et des graminées.
Ce livre, désormais classique, est pour la première fois disponible en français, dans une version augmentée et mise à jour par Noel Kingsbury pour inclure de nouvelles plantes et combinaisons végétales.
Regorgeant d'informations pratiques et de photos inspirantes, il met à la portée de tous la palette des vivaces robustes et subtiles, caractéristique des jardins de rêve de Piet Oudolf.
Au coeur d'une des tendances fortes du paysagisme actuel : des plantations inspirées de la nature à l'approche écoresponsable.
Oubliez les massifs léchés et impersonnels du passé : une révolution esthétique est en marche !
Cet ouvrage est la première étude complète et détaillée consacrée à nouvelle approche naturaliste et spontanée du jardinage reflétant une tendance plus durable en matière de création de jardins. Cet ouvrage présente 40 lieux remarquables - d'une prairie de vivaces dans les Vosges à un jardin privé résistant à la sécheresse en Australie -, avec des commentaires détaillés et de sublimes photographies.
- Après le succès du Petit traité du jardin punk , paru fin 2018 et vendu à plus 20 000 exemplaires, un nouveau format enrichi en contenu et faisant la part belle aux illustrations (mais qui ne remplace pas le Petit traité ...).
- Une réponse aux demandes formulées par une partie des lecteurs du premier opus et par le public rencontré lors d'animations, conférences ou d'échanges avec les médias : davantage d'exemples concrets et pratiques, l'approfondissement de certaines notions, une iconographie enrichie et mise en valeur, l'ajout d'un chapitre sur le jardin nourricier, la liste des végétaux punks complétée et illustrée...
- Une description du concept de « Jardin punk » : un espace décomplexé, moins artificiel, qui s'émancipe des règles du jardinage traditionnel, ne cherche pas à dompter la nature à tout prix et la laisse, au contraire, reprendre un peu ses droits.
- L'approche écologiste, militante et opportuniste d'un paysagiste réagissant aux atteintes environnementales dont il est témoin et cherchant à repenser le rapport de l'homme au paysage.
- Une invitation à porter un regard nouveau sur ce qui nous entoure pour apprendre à discerner le potentiel de tout lieu, afin de l'investir autrement et de reconquérir la biodiversité dans chaque parcelle du quotidien.
- Une réponse à la préoccupation très actuelle d'embellir l'espace de vie collectif ou privé malgré les freins qui s'y opposent, qu'il s'agisse des conditions du site, de budgets très serrés ou d'un outil normatif étouffant, à destination des particuliers comme des élus.
- Un tas d'astuces pour « punkiser » les espaces quand on est rebelle, fauché, écolo et fainéant (régénérer, récupérer, bouturer, transformer, recycler...) - astuces qu'il s'agira bien évidemment de transgresser ou de décliner en se fiant à son instinct.
- Un ton toujours volontairement singulier et une approche à la fois radicale et circonspecte, provocatrice et non conventionnelle du jardin et du paysage.
Akiko est une femme au foyer de Kyoto. Sa vie s'écoule entre courses, cuisine et éducation de son fils adolescent. Mais l'équilibre est rompu le jour où sa belle-mère meurt brusquement. Son beau-père, Shigezo, un home autoritaire et conservateur, devient sénile. C'est sur Akiko que va reposer la lourde tâche de s'occuper de Shigezo. Alors que le vieil homme glisse vers une seconde enfance, Akiko découvrira qu'il symbolise peut-être l'amour le plus authentique, le plus désintéressé qu'elle ait jamais connu.
Ellinor a soixante-dix ans. Elle vient de perdre Georg, son mari, et elle a rapidement décidé de vendre leur maison, dans la banlieue chic de Copenhague, afin de retourner vivre à Vesterbro, le quartier populaire de son enfance. Et Ellinor va se raconter. Elle s'adresse à Anna, sa meilleure amie, qui était la première femme de Georg. Et la maîtresse de Henning, son mari à elle. Anna et Henning ont été emportés par une avalanche dans les Dolomites, pendant des vacances que les deux couples passaient ensemble, au cours des années soixante.
Ce roman d'une vie vécue longuement à la place d'une autre mêle les surprises, la rancoeur, l'agressivité, la jalousie, et les regrets. Ce livre est une apostrophe, à la fois exercice de deuil, de mémoire et de réflexion, où le «tu» donne une immédiateté nouvelle à la palette du grand écrivain qu'est Jens Christian Grøndahl.
Alors que son épouse attend leur troisième enfant, Nobuki Niré trouve un vieux cahier dans l'un des tiroirs de son ancien bureau d'écolier. Il s'agit du journal que sa mère, atteinte d'Alzheimer, a éprouvé le besoin de tenir lorsqu'elle a senti sa mémoire décliner. À travers ces quelques mots, parfois quotidiens, parfois intimes, Nobuki va découvrir une femme qui a eu une vie avant lui, à travers lui, et qui désormais ne peut plus en rendre compte.
Une question chagrine Monsieur Chien : où est passée sa queue ? Monsieur Tortue pense avoir la réponse... Monsieur Chien ne cesse de se retourner quand on lui dit que sa queue est derrière lui, mais ne la voit jamais. Un album plein d'humour ! Deux personnages mémorables et drôles, des dialogues surréalistes, étranges et toujours très polis, parfait pour être lu à haute voix. Une lecture active et animée basée sur les mouvements de Monsieur Chien.
Depuis l'enfance, Keiko Furukura a toujours été en décalage par rapport à ses camarades. À trente-six ans, elle occupe un emploi de vendeuse dans un konbini, sorte de supérette japonaise ouverte 24h/24.
En poste depuis dix-huit ans, elle n'a aucune intention de quitter sa petite boutique, au grand dam de son entourage qui s'inquiète de la voir toujours célibataire et précaire à un âge où ses amies de fac ont déjà toutes fondé une famille. En manque de main-d'oeuvre, la supérette embauche un nouvel employé, Shiraha, trente-cinq ans, lui aussi célibataire. Mais lorsqu'il apparaît qu'il n'a postulé que pour traquer une jeune femme sur laquelle il a jeté son dévolu, il est aussitôt licencié. Ces deux êtres solitaires vont alors trouver un arrangement pour le moins saugrenu mais qui leur permettra d'éviter le jugement permanent de la société. Une décision que Keiko pourrait bien regretter.
Quelque part sur le front de l'Est, alors que la fin de la guerre semble se profiler, un homme se retrouve enrôlé dans un groupe de soldats soviétiques et est envoyé en reconnaissance dans une ville d'eaux dévastée.Au milieu des décombres, comme si le temps s'était arrêté, se dresse une imposante demeure miraculeusement épargnée par les combats. L'homme y pénètre et s'y aménage un refuge inespéré, allant jusqu'à se prendre pour le maître des lieux lorsque l'on vient frapper à la porte.Entre mensonges, mystères et faux-semblants, les premières journées passées dans cette maison préservée, d'une invraisemblable quiétude, ne peuvent toutefois éloigner durablement le chaos de la guerre et la noirceur de l'âme humaine. L'écriture de Hermans, cette «poésie noire» selon la formule de Milan Kundera, frappe à la fois par sa beauté et par sa violence, et l'élève au rang de classique de la littérature néerlandaise du XX? siècle.
Une jeune femme raconte son voyage à Tokyo avec sa mère. Au rythme du séjour et des balades sous la pluie automnale, des dîners en tête-à-tête et des musées, le lecteur explore par petites touches ce qui lie ces deux femmes immergées dans un pays à la fois étranger et familier pour elles - en raison des origines hongkongaise de la famille. Alors que la narratrice cherche, à travers ce voyage, à recréer une intimité perdue au début de l'âge adulte, chaque discussion semble pourtant être une occasion manquée de se retrouver...
Mais cette déambulation japonaise est également une plongée dans les pensées de la narratrice, où l'on croise sa soeur devenue mère, son fiancé, une professeure qui a changé son rapport à la littérature ou encore un oncle vendeur d'oiseaux. La mémoire se perd pourtant, et les souvenirs brumeux sont autant des repentirs que la narratrice recouvre délicatement de couleurs et de vernis. Sans doute le prix à payer pour ne pas tout perdre et préserver quelque chose du passé.
Pour qu'il neige réussit à soulever avec poésie des questions profondes sur l'identité, l'immigration, la filiation, l'art et la religion, tout en les imbriquant dans le quotidien de ces personnages aux émotions désaccordées. Un roman puissant et élégant sur une relation mère-fille, sur ce fil invisible qui se tord, se noue et parfois lâche.
Traduit de l'anglais (Australie) par Claro
Un roman d'apprentissage plein de sensibilité et d'intelligence. Page des libraires Ce premier roman vous aggripe l'âme et ne la lâche plus. Le Point« La Malnata - la mal née - était en bas sur la rive du Lambro avec deux garçons que je ne connaissais que de nom. Ils avaient tous les deux des pantalons courts et les genoux écorchés, et pour elle, cette fille qui leur arrivait tout juste à l'épaule, ils auraient affronté la mitraille comme les soldats qui s'en vont à la guerre, en disant ensuite au Seigneur : Je suis mort heureux. »Phénomène littéraire, révélation d'une voix unique, récit puissant où le passé fait écho au présent : La Malnata marque l'entrée en littérature de Beatrice Salvioni, vingt-six ans, dont le roman est publié simultanément dans plus de vingt-huit pays.Ce roman d'apprentissage au féminin raconte l'amitié intense et émancipatrice de deux adolescentes dans l'Italie fasciste. Deux adolescentes que rien ne destinait à la rencontre - l'une est issue de la bourgeoisie, l'autre des milieux populaires - qui vont trouver, à deux, le courage de se révolter contre la morale sociale et la violence des hommes.
La nuit dernière, j'ai rêvé encore de Dona Gracia.Sur elle j'avais lu beaucoup de livres qui me la montraient tout en me la cachant. Soudain elle m'apparaissait telle qu'en elle-même, vivante et traversant le temps, de la Renaissance au XXI? siècle. Je savais qu'elle était une construction, un double qui se multipliait à travers l'écriture de l'autrefois. Mais je savais aussi que j'avais besoin d'elle aujourd'hui. Qu'elle m'offrait ce modèle de vie que j'avais recherché dans d'autres femmes de l'Histoire et de mon histoire. Qu'elle me tendait ses fils pour débrouiller l'écheveau.Née nouvelle-chrétienne en 1510 et morte juive en 1569, dona Gracia voua son immense fortune à soudoyer les grands pour fuir l'Inquisition, tout en venant en aide aux juifs convertis persécutés dans l'Europe catholique de Charles Quint. De Lisbonne à Anvers, Venise et Ferrare, elle accomplit un invraisemblable périple pour finir à Constantinople, où le sultan Soliman le Magnifique l'accueillit, elle et les siens. De la Corne d'or, elle décréta l'embargo sur Ancône, port des États pontificaux, et construisit un havre pour les opprimés à Tibériade. Pour la première fois, les juifs et les marranes se dressaient face à la haine, sous la bannière d'une femme.
Comment retrouver de l'air quand le quotidien et son rythme infernal nous étouffe ?
Edouard Cortès a choisi, pour se libérer du « monde d'en bas », d'aller vers celui « du haut » : au bord du gouffre, il va quitter femme et enfants pendant plusieurs mois pour vivre dans une cabane de sa propre construction, nichée dans un arbre en pleine forêt. Loin des réseaux sociaux et du tumulte de la société, il trouve une échappatoire dans le silence et la contemplation solitaire, et redécouvre des sensations essentielles au bien-être de chacun. Après avoir retranscrit son histoire en roman, il laisse à Dominique Mermoux le soin d'adapter avec justesse et sensibilité cet étonnant récit de vie.
La voilà, suspendue entre nous et l'Afrique, dramatique et suave, inquiétante et très douce, noire de lave et d'obsidienne, verte de raisin de Zibibbo, de câpres et d'olives, bleue de lac, indigo de mer. La voilà, l'île aux multiples noms : Yrnm, Cossyra, Qawsra, Bent el-Rhia, Pantelleria.
Pantelleria, la dernière île.
Pantelleria est beauté. Exubérante de vents, de mer et d'odeurs. De volcan. Sa nature extrême a, à travers les millénaires, exigé de trouver des solutions, de disputer, pierre après pierre, la terre à la lave, à opposer l'intelligence à la férocité du sirocco et du mistral. Île d'accostages sans fin, elle a été phénicienne, romaine, byzantine, arabe, normande, espagnole. Pantelleria n'est pas seulement une frontière géographique, c'est une frontière qui accueille, c'est un lieu qui nous rappelle à quel point est fragile et en même temps exceptionnelle la condition humaine.
Il existe à New York une rue au nom évocateur : Division Avenue. Elle se situe dans une partie spécifique de Brooklyn, le quartier juif orthodoxe. C'est là que vit Surie Eckstein, qui peut s'enorgueillir d'avoir vécu une vie bien remplie : mère de dix enfants, elle passe des jours tranquilles avec sa famille. Alors qu'elle pensait être ménopausée, Surie découvre qu'elle est enceinte. C'est un choc. Une grossesse à son âge, et c'est l'ordre du monde qui semble être bouleversé. Surie décide de taire la nouvelle, quitte à mentir à sa famille et à sa communauté. Ce faisant, Surie doit affronter le souvenir de son fils Lipa, lequel avait - lui aussi - gardé le silence sur une part de sa vie. Un secret peut avoir de multiples répercussions ; il permettra peut-être à Surie de se réconcilier avec certains pans de son passé.
Avec Division Avenue, Goldie Goldbloom trace le portrait empathique, tendre et saisissant d'une femme à un moment charnière de son existence. Et nous livre un roman teinté d'humour où l'émancipation se fait discrète mais pas moins puissante.
Dans le quartier juif orthodoxe de New York vit Surie, presque arrière-grand-mère, et sa (très) nombreuse famille. Comment peut-elle concilier sa foi et ses convictions avec une grossesse inattendue à 57 ans ? Un formidable portrait de femme tout en nuance, d'une grande beauté.
«Je voulais garder l'image que j'avais d'elle : libre, fantasque, ne recevant d'ordre de personne et acceptant d'en payer le prix.»Après des années à faire des ménages à Paris, Mariette hérite d'une vieille bâtisse en Normandie. Charmée par les lieux, elle y emménage et s'épanouit dans son jardin en friche, à l'écart du monde. Mais l'arrivée de Louise interrompt sa retraite : cette adolescente, en vacances dans la région, cherche un refuge à l'ennui et à la lourdeur familiale. Peu à peu, toutes deux nouent une complicité émerveillée autour du jardin sauvage. Le lien inattendu créé cet été-là bouleversera à jamais l'existence des deux femmes.
Le premier recueil de poèmes d'Amanda Gorman, incluant « La colline que nous gravissons », déclamé lors de l'investiture de Joe Biden, explore les thèmes de l'identité, du deuil et de la mémoire, et dévoile une voix poétique d'une force inoubliable.
Ce livre est une bouteille à la mer.
Ce livre est une lettre.
Ce livre est sans concession.
Amanda Gorman, la poétesse qui a marqué l'Amérique et le monde en récitant « La colline que nous gravissons » lors de la cérémonie d'investiture du président Joe Biden, livre un premier recueil lumineux dans lequel elle s'empare d'une époque naufragée pour la transformer en un chant d'espoir et de guérison.
Dans Donnez-nous le nom de ce que nous portons, Amanda Gorman explore l'histoire, le langage, l'identité et l'effacement. Inspirés par la souffrance collective qu'a engendrée la pandémie, ces poèmes, collages et calligrammes éclairent un moment de prise de conscience et révèlent Amanda Gorman comme messagère du passé et voix de l'avenir.
Superbe traduction de l'oeuvre au retentissement international de la poétesse et militante américaine Amanda Gorman. Une poésie vigoureuse et lumineuse engagée sur les thématiques sociales et environnementales de notre ère.
La Librairie Nouvelle d'Orléans
Après avoir respiré des vapeurs nocives dans l'imprimerie où il travaille, monsieur Carossa tombe malade. Par crainte d'un licenciement, il demande au médecin le silence. Et puis, un jour, il ne se lève pas. Comme un animal écrasé sur la route, il gît, à même le drap.
Yves Ravey raconte les derniers mois de son père, alors que la maladie progresse, avant de le tuer. Il a choisi le temps du présent pour ne laisser aucun espace à la nostalgie. Le présent favorise aussi la sobriété, le dépouillement. C'est sa manière d'écrire la mort de son père. Par courtes séquences successives, sans une once de lyrisme, encore moins d'apitoiement, comme si le pathos s'était fondu dans les ellipses. Les ellipses participent de la dimension éthique du livre d'Yves Ravey. Dimension remarquable.
Dans Le Drap, ni héros, ni pauvre type, ni jugement d'aucune sorte de la part du narrateur. Dans un roman familial, on avait presque oublié que c'était possible. Mais la justesse de la figure du père en dépend. Du récit, simple, naît la complexité. [...] Yves Ravey signe là un livre d'autant plus fort que cette représentation nue de la mort, aujourd'hui, est presque taboue. On se rappelle quelques pages d'Annie Ernaux. On pense surtout à La Gueule ouverte de Maurice Pialat, où un fils accompagnait la mort de sa mère avec le même amour implicite, et la même impuissance.
Christophe Kantcheff, Politis
Sobriété et pudeur incarnent ce beau récit intime sur la maladie, la mort et le deuil.
La Librairie Nouvelle d'Orléans
C'est un clan d'humains. Ils chassent et cueillent, ils naissent et meurent, ils habitent des tentes de peau, ils peignent sur la paroi des grottes, ils perpétuent les légendes de leurs déesses et dansent autour du feu les soirs de fête. Leur univers est une forêt nourricière et, hormis les grands froids ou la maladie, ils n'ont à redouter que la Bête, qui rôde aux abords d'infranchissables Confins. Ils ignorent qu'un tout autre monde existe au-delà.
Cet autre monde, c'est le nôtre ou presque, couvert de villes grises de pollution et peuplé de Sapiens dont quelques-uns vont bientôt rencontrer leurs lointains cousins du clan Neanderthal...
Porté par un redoutable sens du suspense, Demain les ombres est un grand roman d'évasion nourri de considérations éthiques sur notre rapport à la nature, au divertissement, à l'autre, à la vie.
Un clan de Néanderthaliens vit paisiblement, au rythme des saisons et des mythes de leur tribu, mais, au-delà des Confins, les Sapiens luttent dans un monde ultra-pollué où l'ultra-consommation règne. Récit d'une rencontre rendue possible grâce à la science, émaillé de nombreuses réflexions sur l'éthique, le progrès, l'environnement... et beaucoup de suspense dans ce SPLENDIDE roman.
La Librairie Nouvelle d'Orléans
Ces bricolages dessinés sans chichis paraissent tous les mois dans le journal Biscoto. Après 5 ans de parution et de courriers de lecteurs et de lectrices nous montrant fièrement leurs réalisations, il nous a paru indispensable et nécessaire de publier cette anthologie. Parce que dès 7 ans, on peut expérimenter et inventer ? ! Dans ce grand livre très complet, pas de colliers de pâtes nounouilles ni de cadres en coquillages qui brillent.
A partir d'éléments simples que l'on peut récupérer ou recycler, on assemble, on colle, on articule et on observe. Les expériences scientifiques (sous-marin automatique, pH-mètre au chou rouge...), inventions délirantes (générateur de gros mots, voiture qui pète...), installations durables (mangeoire à oiseaux, herbier...) et constructions mécaniques (catapulte, kaléidoscope...) prennent la forme d'objets pas chers à fabriquer qu'on gardera, ou démontera afin de tout récupérer pour la prochaine activité? !
Un album de bricolage incroyablement riche : 60 projets nécessitant du matériel tout simple, le tout très bien expliqué, original et ludique. Un outil indispensable !
La Librairie Nouvelle d'Orléans